Accueil Vivre le deuil de son frère / de sa sœur Ma soeur me manque Ce sujet contient 1 réponse, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par adm-ac, le il y a 1 année et 2 mois. 2 sujets de 1 à 2 sur un total de 2 Auteur Messages 20 novembre 2020 à 11 h 38 min 11157 AnonymeInactif Bonjour, J’ai perdu ma soeur il y a 3 mois de maladie, j’ai beaucoup de peine, je n’ai plus goût à rien et ne fait que penser à elle. Est-ce que c’est normal selon vous ? Mon entourage est lassé de me voir dans cet état, et je commence à l’être aussi. 16 juin 2021 à 15 h 43 min 11713 Bonjour, Toutes nos excuses pour cette réponse plus que tardive. Ce que vous décriviez à l’époque suite au décès de votre soeur nous parait en effet tout à fait normal. Que vos pensées soient complètement tournés vers votre soeur, vers le lien que vous entreteniez avec elle, vers le passé, et qu’il vous paraisse difficile d’investir d’autres sphères fait partie du processus de deuil. Le deuil engendre un remaniement et des questionnements profondes. D’autant plus que le deuil dans une fratrie est très trop souvent un deuil non reconnu par l’entourage. Est-ce que votre état a évolué depuis ? Nous vous invitons vivement à nous contacter via notre ligne d’écoute téléphonique gratuite et anonyme au 01 42 38 08 08, du lundi au vendredi, pour prendre le temps d’échanger sur ce que vous traversez actuellement et pour répondre aux questions que vous pourriez vous poser. Bien à vous, L’équipe d’Empreintes Auteur Messages 2 sujets de 1 à 2 sur un total de 2 Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet. Identifiez-vous Ou créer un compte
Traductionsde expression MA SOEUR EST MORTE du français vers allemand et exemples d'utilisation de "MA SOEUR EST MORTE" dans une phrase avec leurs traductions: Ma
J'aurais aimé avant que se ferment tes yeux,pouvoir te dire adieu!J'aurais aimé avant que ta flamme s'éteigne,te crié combien je t'aime!Coule sur mon visage,des milliers de larmes amères,depuis que tu as quitté cette mois de novembre,tu as rencontrés les anges,Je prie chaque soir en silence,pour qu'au paradis s'apaise tes donnerai ma vie a dieu,pour pouvoir te dire adieu!Te regarder une dernière fois,avant que tu parte loin de j'appercois ton visage,mais ce n'es seulement qu'un mirage!Au fil des années,ma rage s'appaisera,mais au fond de moi,ma tristesse aimer te serrer dans mes bras,pour te réchauffer et que tu n'es plus es partie de ce monde,et c'est la que débute ta véritable vie,et que pour moi s'achève la meme si tu n'es plus la concrètement,a présent c'est moi qui suis morte tout essayer pour empecher ca,mais impossible,je n'y arriverai déferlente tristesse traverse mon esprit,et je me demande pourquoi dieu a pris ta vie?Tu as emporté tout tes et mes secrets,plein de choses qui ne seront jamais sais nos deux coeurs sont liées,et cela pour l'éternité!!!!Avec mes larmes coulants a flots,je te dédicasse ces paroles...A toi ma SOEUR,qui restera a JAMAIS mon ANGE DU BONHEUR!!!!!! Posted on Saturday, 30 January 2010 at 1023 PM
Ceque vous décriviez à l’époque suite au décès de votre soeur nous parait en effet tout à fait normal. Que vos pensées soient complètement tournés vers votre soeur, vers le lien que vous entreteniez avec elle, vers le passé, et qu’il vous paraisse difficile d’investir d’autres sphères fait partie du processus de deuil.
Bonjour, J'ai perdu ma mère il y a 3 semaines. Elle est partie des suites d'un glioblastome cancer du cerveau, après 15 mois d'une longue agonie autant due au cancer en lui-même qu'aux traitements proposés par la médecine "moderne" Chimiothérapie qui l'a tellement mise à plat qu'elle a totalement arrêté de sortir de son lit dés la 1ère série - Radiothérapie localisée sur la zone touchée du cerveau, qui lui a provoqué une lobotomie en bonne et due forme - Cortisone à gogo pour réduire les œdèmes autour de la tumeur mais qui la faisait gonfler de toutes parts et qui lui provoquait un diabète et donc, en prime elle a subi moults shoot d'insuline... Et j'en passe. Bref, 15 mois d'une insoutenable horreur où ma mère, infirmière en activité lors du diagnostic, s'est dégradée par à coups. Très rapidement, elle n'a plus été en mesure de faire la moindre phrase après les rayons et plus d'un an s'est écoulé ainsi, où elle essayait de commencer une phrase mais la suite ne venait jamais... Pour autant, elle m'a toujours reconnue. Rapidement, elle a cessé de marcher puis, elle a cessé d'accepter le fauteuil roulant puis, elle a cessé de s'assoir dans son lit puis, elle a fini allongée en permanence, amaigrie, délirante, le cancer se propageant à d'autres endroits du corps, l'odeur du pus flottant partout dans la pièce et maman, dans les derniers jours, ne respirant plus qu'à travers un horrible râle rauque chargé de sécrétions. J'ai été sa seule accompagnante au quotidien, tout du long. Bien portante, maman était une sorte de misanthrope qui ne laissait personne entrer chez elle; Ses parents mes grands-parents sont morts; Je suis fille unique et n'ai jamais connu mon père elle ne s'est jamais mariée. Maman avait bien 2 frères, 1/2 soeur et une nièce, ma cousine, mais ces derniers sont loins entre 400 et 800 km et n'ont pas pu venir plus de 5 ou 6 fois sur toute la durée de la maladie. Ca a été très dur car étant la seule à venir tous les jours en début et fin de maladie, avec une moyenne de 2 fois/semaine entre les deux, maman s'est beaucoup raccrochée à moi jusqu'à entrer dans du chantage affectif Refus du change, de la toilette, des repas, si je n'étais pas là . Clairement, j'ai mis ma vie en stand by pendant 15 mois Super boulot dont j'ai du refuser le CDI car trop loin de son lieu d'hospitalisation, Formation de reconversion que je n'ai pas pu finir de valider, Vie perso amour/amis en stand by total, plus de loisirs, gestion administrative de ses affaires car maman avait de grosses problématiques de gestion de la vie quotidienne et j'ai même récupéré ses 2 vieux animaux de compagnie dont l'un est sous traitement, ce qui entrave encore de beaucoup ma mobilité.... Bref, ça a été un chemin de croix tout du long et j'ai passé 15 mois à vomir systématiquement tous les matins au saut du lit; A pleurer comme une madeleine un soir sur deux; A rouler à 160 en rentrant de l'hosto en me disant que si je lâchais le volant sur un platane, pour moi, tout serait résolu; A angoisser à la vue des scènes monstrueuses qui se jouent dans les hostos; A être terrorisée aussi de l'après "familial"... J'avais 36 ans lors du diagnostic. Je n'ai pas d'enfants, ne suis pas mariée et je me retrouve aujourd'hui sans mère, sans père, sans frères et sœurs, sans grands-parents... Ma mère et moi n'avons jamais eu des relations "pacifiées" Comme je l'ai dit, elle avait d'autres problématiques, incapable de gérer le quotidien depuis toujours... Notre relation m'étouffait au pire point car j'étais à la fois sa fille, sa sœur, sa confidente, son conjoint... Et toujours le "secret" qu'il fallait garder sur ses dettes, ses défaillances, son intérieur, etc.... A maintes reprises, avant qu'elle ne tombe malade, j'ai pensé et même formulé que je ne serai libre et capable de vivre ma vie que lorsqu'elle aurait quitté ce monde. Pour autant, malgré la "toxicité" que pouvait parfois avoir notre relation, je reconnais tout ce qu'elle m'a apporté et ce qui est certain, c'est que nous avons toujours pu compter l'une sur l'autre. C'était une femme d'une grande intelligence, avec une certaine finesse d'analyse. Elle était également un puits de savoir, dans de nombreux domaines. Infirmière de métier, elle était d'une grande empathie pour ses patients et ne vivait que pour soulager leur souffrance. Je ne la remercierai jamais assez de ce qu'elle m'a donné Une confiance en moi et une estime de moi, à toute épreuve; L'esprit critique et la force de ne jamais céder à la manipulation; L'empathie et la tolérance; Le goût de l'histoire et des arts; Les voyages; Les expériences multiples; La possibilité de s'adapter dans tous les milieux et à tous les interlocuteurs... Tout ça, je le lui dois en partie et j'en ai bien conscience. Ce qu'elle ne m'a pas donné n'a plus d'importance aujourd'hui et je l'accepte. Malgré nos désaccords et l’ambiguïté de notre relation, j'ai accompagné maman comme il se devait. Non pas que j'en avais réellement la volonté mais surtout, car je n'ai jamais considéré avoir le "choix" Contrairement à ce que tous les bien-pensants me disaient durant ces mois De me ménager, de prendre de la distance, de penser à moi.... J'ai préféré tout sacrifier pendant 15 mois afin de ne jamais avoir à ressentir un sentiment de culpabilité qui ne m'aurait probablement jamais quitté jusqu'à la fin de mon existence, plutôt que l'inverse. C'est chose faite et effectivement, aujourd'hui, je ne ressens rien d'autre que la satisfaction d'avoir tenu "ma place", d'avoir fait ce qu'il était nécessaire de faire. Mais voilà , je n'ai presque pas pleuré depuis son décès, il y a 3 semaines. L'agonie a été très violente et j'étais obligée de sortir de la chambre régulièrement pour pleurer tellement c'était insoutenable. Mais depuis son décès Rien; A la veillée du corps Rien; A la levée du corps et à la crémation Rien de rien... Depuis 3 semaines, je sais que ma mère est morte et j'ai l'impression d'être insensible car finalement, je me sens juste "soulagée" que tout cela soit enfin terminé. Je peux regarder des photos d'elle, sans pleurer. Je peux écouter des enregistrements de sa voix, sans pleurer. Je n'ai même plus peur d'avancer sans elle ou même sans famille, dans l'existence. Je ne rêve pas d'elle. Je n'ai pas de flottement au réveil, où je me demande si sa mort est réelle ou un cauchemar J'ai vécu toutes ces choses pendant des années, après le décès de ma grand-mère qui m'a largement élevée, pendant que ma mère bossait... Ai-je fait mon deuil au cours de la maladie ou suis-je dans le déni? Suis-je insensible?. Merci Elleétait sous médication depuis quelques mois, mais dans les derniers jours la médication n’était plus réellement efficace. Elle s’est éteinte dans mes bras et j’ai trouvé cela extrêmement difficile. J’ai pleuré et je pleure toujours. Elle me manque et elle laisse un grand vide dernière elle. Elle sera toujours dans mon texte pour personne décédée qui nous manque Texte pour personne décédée qui nous manque , hommage à une personne décédée ,Qui peut faire un discours pour un enterrement ? Toute personne ayant le besoin de parler ou de rendre hommage au défunt peut prendre cette initiative. vous propose aujourd’hui quelques textes pour personnes décédées qui nous manquent beaucoup . vous pouvez écrire un texte en hommage pour une personne décédée qui nous manque est un processus personnel . rédiger une message à l’être cher perdu peut aider à faire son deuil. Cela explique pourquoi certaines personnes hésitent à rendre hommage. … la bonne chose sur une personne décédée et oublier les mauvaises choses . Modèle de textes pour une personne décédée texte pour personne décédée qui nous manque Tu étais un homme d’une nature bienveillante toi et ta présence chaleureuse donnaient un sens à ma vie. Tu étais mon ami, tu étais mon amour, bien plus encore, tu étais mon mari. Même après ….. ans d’absence, jamais Je n’oublierai pas tous les bons moments que nous avons passés ensemble, parce que le vide que tu as laissé ne sera jamais rempli. Je ne cesserai jamais de t’aimer, car je sais qu’un jour nous serons réunis ; cette fois, ce sera pour l’éternité. Je t’aime. Textes pour personne décédée Cher Papa, depuis que tu es parti, nous avons tous réalisé à quel point nous pouvions t’aimer. et peut-être apprendre à te connaître . un peu mieux. Jusque-là , veille sur nous . tous et n’oublie pas de préparer . notre place ! On t’embrasse très fort. Texte de deuil Les plus beaux , textes et citations sur la mort après le décès d’un être cher parti trop tôt. Les mots me manquent pour comprendre mon émotion à l’annonce de la mort qui vous touche cruellement. adieu Je suis ici pour te dire au revoir, toi que j’ai aimé. Je suis pour te remettre à Dieu, pour toujours. Rejoins tous ceux que nous avons aimés. Tous ceux qui nous ont déjà quittés. Tu es parti, on ne te reverra plus . Ton rire, ton sourire seront des souvenirs . Nos cœurs pleurent la douleur inconsolable. En déposant ces gerbes de fleurs . Maintenant tu es parti, adieux . Mes yeux te chercheront dans les cieux. Tu resteras à jamais dans nos cœurs. Aide-nous à maintenir la joie. La vie a décidé que tu devais partir. Et je dois te dire au revoir. Je t’ai aimé et je te remets . Petit texte fond personne ne meurt Une personne qui a quitté ce monde ne meurt pas tant qu’il reste au moins une personne qui pense à elle et qui continue à perpétuer le souvenir. Beaux poèmes pour la mort d’un proche pour rendre une personne décédée qui nous manque et beaux poèmes décès d’un père, ou décès d’une mère, ami ou autre proche décédé. De belle citation et de textes sur la mort sous forme de discours d’adieu à un défunt. Trouvez un beau message de condoléances pour la perte ou des mots de réconfort à envoyer à une personne en deuil. Texte pour une maman décédée Modèles des textes à lire Maman je pense à toi Un petit poème pour ma douce maman Que j’aimerais embrasser tendrement. Une femme qui était la meilleure des mères Maman, mon bonheur te manque Je ne peux retenir mes larmes et mes pleurs. Sais-tu seulement que tu me manques tellement ? Est-ce que tu sens l’amour de ton enfant ? Tu es présent dans mon passé Tu vis en moi comme dans les jours précédents. Je sais que tu es là , à mes côtés. Rien ne pourra jamais guérir ma blessure J’ai encore les beaux souvenirs que tu m’as laissés Tu vis aujourd’hui dans ton paradis Mais tu fais toujours partie de ma vie. Alors je reste fort et je recompose Je dépose ma tristesse et mon chagrin Les morts ,texte pour personne décédée qui nous manque Les morts ne sont pas morts, les morts sont toujours vivants. Leurs tombes sont vides, elles n’abritent que des corps. Certains ont choisi l’ombre, ils errent et souffrent Attendant un appel pour sortir de leurs gouffres. Les autres que l’amour a libérés d’eux-mêmes Je les connais près de nous et je sais qu’ils nous aiment. Ne te lamente pas, ne pleure pas sur eux Dans la lumière du cosmos, ils sont heureux. Les morts ne sont pas morts, ils sont nés de nouveau Ils sont dans un jardin et non dans une tombe Dans cet autre lieu si proche, ils nous voient, nous entendent Ils ne nous oublient pas, je sais qu’ils nous attendent. Les amis attendent les amis, les amants attendent les amants. Et le fils sa mère, et la mère ses enfants. Ne se lamentent pas, près de la rivière de la vie Ils oublient les errances des âmes asservies. Je connais des nuits troublantes où ils viennent à nous. Leur vie est un firmament dégoulinant d’étoiles Chaque étoile est une âme échappée de sa toile Ils ont encore soif d’amour infini Pense à eux car la vraie tombe est l’oubli Ne vous lamentez pas, les pleurs sont des prières Mais vos douleurs en font des âmes piégées. Les morts ne sont pas morts, une nuit ils m’ont dit. Les yeux. Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l’aube ; Ils dorment au fond des tombes Et le soleil se lève encore. Ont enchanté des yeux sans nombre ; Les étoiles brillent toujours Et les yeux remplis d’ombre. Non, non, ce n’est pas possible ! Ils se sont tournés quelque part Vers ce qu’on appelle l’invisible ; Et comme les étoiles pliées, nous quittent, mais restent au ciel, Les prunes ont leurs couchers de soleil, Mais il n’est pas vrai qu’ils meurent Comment ecrire une lettre pour un mort ? Condoléances à la famille de son collaborateur Madame PIERRA , Nous partageons votre peine en ces moments difficiles. Sachez que Paul par l’exemple de sa carrière, nous laisse le souvenir d’un homme intègre, droit avec un grand cœur. Il était un collègue apprécié, chaque personne avec qui il a travaillé gardera un souvenir impérissable de lui. Pierre FRANC Condoléance à la famille de son collègue et ami C’est avec une grande tristesse que j’ai appris le décès de Thomas. Il m’est difficile de trouver les phrases justes, aucun ne sera à la hauteur de ce moment. Je veux très simplement vous faire part de ma présence, et vous dire que mes pensées sont là pour vous accompagner dans ce temps difficile. Thomas était plus qu’un collègue, il était aussi un ami pour moi. Sa présence solaire rendait nos journées plus belles, et je ne saurais dire combien de moments heureux nous avons pu passer ensemble. Thomas sera toujours mon ami. Jack Et voici tout ce que vous pouvez savoir sur notre site pour la rédaction et apprendre un texte pour un défunt qui nous manque beaucoup ! Cette fiche de vocabulaire vous aidera sûrement à exprimer votre amour et votre tristesse envers une personne décédée qui vous manque beaucoup. Sielle n’a pas eu d’autres choix que d’ accepter la disparition de sa sœur, l'animatrice a trouvé un joli moyen de lui rendre hommage comme il se doit. Chaque 16 juin, elle publie sur son Je vous qu'elle est entrée à l'université, ma soeur est devenue une autres, elle ne cesse de marteler depuis des mois que le poids d'une femme est sans importance et qu'on peut être belle peu importe la forme » de notre sûr, moi, en tant qu'être rationnel, j'ai essayé de lui expliquer que le poids d'une personne avait bel et bien une incidence sur sa santé actuelle et, surtout, future. C'est sans compter que les hommes préfèrent les femmes minces. Rien à faire elle ne voulait rien entendre et elle s'est lancée dans un véritable discours comme quoi je méprisais les il y a quelques jours, une de ses amies est décédée durant la nuit. Elle a fait une crise cardiaque à 35 ans. Ma soeur, qui, déjà , est une personne dramatique, n'a pas cessé de pleurer sa mort et de se morfondre comme quoi la vie était cruelle et injuste. Calmement, j'ai souligné à ma soeur que son amie pesait plus de 100 kilos. Il n'y a rien de cruel ou injuste. Ton amie est morte jeune parce qu'elle était trop lourde », ai-je ma soeur a crié après moi et elle m'a traité de tous les noms. Elle refuse de me parler depuis ce temps-là et je regrette un peu mes paroles qui, bien que véridiques, ne pouvaient qu'être comprises par un autre faire ? Message édité le 22 juillet 2019 à 031736 par nicelol_rupture Lastar transgenre (née Robert) s'est éteinte le 11 septembre 2016 à l'âge de 47 ans, des suites de complications liées au sida. Moins d'un an après sa mort, David Arquette s'est donc Premier message Ma soeur va mourir 0 Posté le 21 septembre 2007 par lucky547 Bonsoir, ma soeur est à l'hôpital. Le cancer l'a prise en un temps record. Les médecins lui donnent encore quelques jours à vivre alors qu'il i a une semaine à peine, elle semblait reprendre le dessus. Elle n'a que 59 ans. Je suis mal. Je culpabilise déjà de ne pas l'avoir assez assistée pendant les quelques mois de sa maladie. Pourtant elle aurait aimé me voir plus souvent, m'avoir plus fréquemment à ses côtés, elle qui m'adorait. Mais je ne lui ai offert que trop d'absence. Par égoïsme, à cause du malaise que j'éprouvais face à sa maladie à laquelle je n'avais pas envie d'être confronté. Aujourd'hui c'est trop tard et je n'ai plus que des regrets et mes yeux pour pleurer. Comment vais-je pouvoir vaincre cette culpabilité qui va me poursuivre et qui me poursuit déjà ? Je voudrais dire ici à toutes celles et ceux qui liront ces mots qu'il faut prouver aux autres qu'on les aime pendant qu'il est encore temps. Pourquoi attendre qu'il soit trop tard? Et pourquoi avoir peur de le montrer? Ca ne peut que faire plaisir. La vie est si courte. Je ne l'ai pas fait. Je le regrette, et ce soir je chiale sur mon ordinateur comme un petit gamin et en ayant peur du lendemain. Messages récents La perte de ma jeune soeur 6 Posté le 27 juin 2012 anonymement En réponse à réponse 1 par Maylisse Bonjour à tous, J'ai perdu ma jeune soeur le 25 mai 2012 d'un cancer des ovaires. La vie nous avait séparées, et le cancer nous a réunis. Je me pose pas mal de questions sur le passé sans me culpabilisée car à chacune un destin déjà tracé. Cela n'empechê pas la souffrance en silence. On me dit que seul le temps atténuera la douleur. Elle me manque terriblement. Je n'ai pas pu lui dire ce que j'avais sur le coeur, combien elle allait me manquer....je me contentais de la rassuer, je suis restais digne et forte pour elle, moi la peureuse, de qui? si ce n'est pas de ma propre peure. Et maintenant? Malika réponse 5 Posté le 23 septembre 2007 par Maylisse Bonsoir Lucky et ImaJIneL Je vous présente à tous les deux mes sincéres condoléances. Surtout, ne laissez pas la peine et la souffrance vous isoler de la vie sociale, n'hésitez surtout pas à écrire un message, car il est important d'extérioriser la douleur qui nous torture le coeur et l'esprit, je serai là pour vous comprendre, vous aider et vous guider. Vous avez tout mon soutien ! A bientôt Maylisse D Message 4 4 Posté le 23 septembre 2007 par lucky547 Mes plus sincères condoléances à vous. C'est un très douloureux moment Message 3 3 Posté le 23 septembre 2007 par ImaJIneL moi aussi maylisse, ma mere est morte du cancer cet ete Message 2 2 Posté le 23 septembre 2007 par lucky547 Merci Mailisse pour votre réconfort qui m'aide beaucoup. Ca m'a fait du bien de vous lire et j'ai ressenti un apaisement après votre message. Ma soeur est décédée cette nuit. réponse 1 Posté le 21 septembre 2007 par Maylisse Bonsoir Lucky Vous avez eu peur de voir souffrir votre soeur que vous aimez énormément et c'est une réaction normal car vous n'étiez pas préparé psychologiquement à sa dégradation physique puisque dernierement, comme vous le dites, elle semblait prendre le dessus. Le cancer s'est surdéveloppé a vitesse grand v et vous a pris de cour. La peur paralyse, et il est normal d'avoir peur c'est un automatisme qui vous a permis de protéger votre soeur sur les larmes qu'elle aurait pu voir couler sur vos joues, sur toute cette souffrance que vous éprouvez. Ceci l'aurait encore plus fait souffrir car elle aurait encore plus pris conscience de sa maladie dévastatrice. Vous n'êtes pas égoïste du tout, vous avez protégé votre soeur de votre souffrance. Elle vous aime et vous l'aimez, vous êtes dans son coeur, elle est dans le votre et ce sera pour l'éternité. J'imagine votre souffrance de voir la maladie avancer à grands pas, surtout ne culpabilisez pas, ne vous infligez pas cette injustice, cette souffrance supplémentaire. Votre comportement est un automatisme que tous les gens, pris de cours par la maladie, ont. Je compatie à votre souffrance et si vous avez besoin de "parler", n'hésitez pas, je serai là pour vous répondre et vous aider. A bientôt Maylisse D JuliaRoberts est en deuil. Sa mère, Betty Lou Bredemus, est décédée des suites d'un cancer du poumon. Elle était âgée de 80 ans.Pour traverser un deuil ce qui aide, ce qui blesse Quand plus rien n'a de sens et que le goût de vivre a disparu, comment reprendre pied? Quel rôle les proches peuvent-ils jouer? Cinq lecteurs, tous marqués par une perte douloureuse, ont livré leur expérience et leurs conseils à Florence Monteil, journaliste à Notre Temps. À votre tour, apportez votre témoignage et vos conseils . Donnez votre avisMaguy La phrase qui m’a le plus blessée, c’est "la vie continue". Non la vie ne continue pas justement! Je préfère qu’on me dise simplement "ça va Maguy? Tu veux que je t’accompagne?" C’est tout, pas la peine de faire comme si c’était facile. Un sourire, une attitude peuvent être très réconfortants. Je préfère sentir que l’on compatit à ma douleur, plutôt qu’avoir des phrases toutes faites qui ne s’adressent pas vraiment à Je préfère aussi qu’on me dise simplement "je ne sais pas quoi te dire, je ne peux pas me mettre à ta place". Je n’ai pas rêvé de mon mari depuis sa mort et on me dit que c’est parce que je n’ai pas "fait mon deuil". Qu’est-ce que ça veut dire?Michel Au début, j’avais toujours l’impression que ma femme allait revenir… On dit "ma moitié" et cest ça, j’ai perdu la moitié de moi-même. On avait une grande complicité avec ma femme, c’était très fort. A tel point que j’ai mis deux ans pour débarrasser ses affaires. J’ai attendu que ça vienne tout seul et quand j’ai vraiment réalisé qu’elle ne reviendrait plus, j’ai enlevé ses Moi, ça va peut-être vous paraître bizarre mais…Dominique Oh, je sais ce que vous allez dire! Vous avez tout jeté très vite?Sylvie Oui! j’ai fait des changements dans l’appartement et j’ai donné ses affaires au bout de deux mois. Je n’ai gardé que quelques objets. Dans la salle de bain, par exemple…Dominique J’ai gardé sa brosse à cheveux. Des fois je me dis que je suis folle, mais j’ai besoin de la toucher, de sentir son parfum. On se demande si les autres réagissent comme ça… Vous aimez cet article ? Cet été, profitez de nos offres d’abonnement à prix réduits pour partager ensemble bonne humeur, conseils santé, bons plans et infos immanquables ! Avec Notre Temps Santé & Bien-Être, prenez soin de vous.xNzB5p.