C'EST un témoignage exceptionnel qui vient de nous parvenir. Un Français qui connaît bien le Tibet rentre d’un long périple à Lhassa et dans les régions tibétaines rattachées à différentes provinces chinoises. Il raconte le Tibet neuf mois après la révolte de Lhassa. Loin de se relâcher, la répression chinoise semble s’être installée dans un train-train de brutalité aveugle. Une occupation militaire écrasante. Un flicage policier constant. Des arrestations arbitraires. Des monastères vidés. Des moines et des nonnes harcelés. Des nomades sédentarisés de force. Des jeunes citadins disparaissant sans laisser de traces. Des tortures abjectes. Bref, une volonté évidente de régler l’agitation tibétaine par la terreur. Carlo Blanco est un pseudonyme. Il a choisi de masquer son nom afin de ne pas mettre en danger les personnes qu’il a rencontrées. Il faut lire Carlo Blanco, pour ne pas oublier la souffrance quotidienne des Tibétains. Ursula Gauthier Tibet, Décembre 2008 Les émeutes qui ont secoué le Tibet en mars et les jeux olympiques de Pékin sont déjà loin. Pourtant, dès mon atterrissage à Chengdu capitale de la province chinoise du Sichuan qui englobe une partie du Tibet historique, les amis chinois qui travaillent dans l’industrie du tourisme me racontent comment untel n'a pu aller plus loin que Kanding l'ancienne frontière entre la Chine et le Plateau tibétain, comment la chambre de tel autre a été fouillée par la police. Ils me supplient de faire attention, car eux-mêmes ont souvent à répondre des activités de leurs clients auprès du PSB Public Security Bureau – Bureau de Sécurité Publique. "Surtout fais attention dans ta chambre d’hôtel, il y a très souvent des micros cachés", me disent-ils en vérifiant que toutes les ampoules sont bien au plafond c'est un endroit favori pour placer les micros. La répression à Gardzé Dans le quartier tibétain de Chengdu, je retrouve une amie tibétaine de Gartzé préfecture tibétaine de la province du Sichuan. Elle a vécu quelques années en Inde et depuis a bien du mal à s'insérer dans la société. N'ayant pas suivi le curriculum d'anglais dans les universités chinoises, elle ne pourra jamais avoir un poste d'enseignante dans une école. De plus, cette année, les agences de voyage ne sont plus autorisées à employer des guides qui sont allés en Inde. Elle me raconte ce qu elle a vécu en mars lors des manifestations qui ont secoué Gartzé comme tout le reste des localités tibétaines "Lorsque nous avons appris ce qui se passait à Lhassa et qu’il y avait eu plus de 100 personnes tuées, beaucoup de monde est sorti dans la rue. La police a tiré, il y a eu des morts, des arrestations par centaines. La police et l'armée embarquaient n'importe qui, de jour comme de nuit. Il y avait des tanks et des soldats partout dans la ville. Les prisonniers étaient sauvagement tabassés, beaucoup ont dû être hospitalisés, certains sont devenus aveugles. Beaucoup de gens ont simplement disparu, et on n'a toujours pas de nouvelles d'eux. Ensuite des nonnes du monastère de Tongkor sont venues en groupe pour demander à la police de libérer les prisonniers, mais elles ont à leur tour été arrêtées, battues et torturées. Quelques-unes ont été libérées mais beaucoup sont encore en prison. Des renforts militaires en grand nombre sont bientôt arrivés. Les camps militaires se sont multipliés partout en ville et même tout près du monastère". Un moine me dit à quel point il avait eu peur. Il devait traverser la ville en voiture pour aller vers le nord. Il a été arrêté à un barrage militaire. Après un long moment d'angoisse, les soldats l’ont laissé passer. Il a traversé une véritable foule de militaires anti-émeutes, armés jusqu'aux dents. Il me raconte aussi que la police passe plusieurs fois par semaine dans les monastères pour interroger les moines à maintes reprises et que tout le monde a peur. L'inquiétude règne dans les monastères, surtout dans ceux où sont tenues des séances de rééducation, car les moines sont alors contraints de vilipender le Dalaï-Lama. Bien des moines et nonnes sont expulsés de leur monastère. Alors une vie d'errance commence pour eux. On leur a retiré leur carte d'identité et de ce fait ils ne sont plus acceptés dans les hôtels, ils ne peuvent plus acheter un billet de train ou une recharge de téléphone portable. Je suis surpris de voir ces amis de longue date hésiter à me donner trop de détails, même dans l'intimité. Le risque de représailles est si grand ! Tous me confirment que le nombre de disparitions est alarmant. C'est le drame de nombreuses familles. Des amis tibétains reviennent d'un voyage ils travaillent pour une agence de tourisme et sont allés faire de la publicité pour le Tibet dans diverses provinces chinoises. Au retour, leurs bagages ont été soigneusement inspectés à l'aéroport de Chengdu, mais pas ceux de leurs collègues chinois il est spécifiquement indiqué sur leur passeport qu'ils sont Tibétains. Tout Tibétain est par essence suspect. Je pars ensuite vers Xining capitale de la province chinoise du Qinghai peuplée en majorité de Tibétains où je rencontre des étudiants tibétains. Leurs études sont très coûteuses pour leurs familles de nomades et de fermiers. Les familles s'endettent, tout en s'inquiétant car elles savent que nombre d'étudiants ne pourront pas trouver de travail. En effet, leur niveau de chinois n'est pas aussi bon que celui des Chinois Han et la compétition pour obtenir des postes de fonctionnaire sera très dure. Le grand lama de Repkong tabassé en pleine rue Je pars à Repkong préfecture tibétaine de la province du Qinghai. L'autoroute inaugurée l'an dernier est impressionnante mais elle est déjà truffée de nids de poule ! Je fais un tour dans le monastère, ou les pèlerins sont comme d'habitude occupés à faire tourner les énormes moulins à prières qui entourent les sanctuaires, ou à faire des prosternations devant les statues colossales. Des amis me racontent comment les émeutes ont commencé à Repkong, avant même celles de Lhassa "C'était un soir d'hiver bien froid en mars, le jour des grandes offrandes de fumée odoriférantes de genévrier, nous étions très nombreux à déambuler dans les rues. Il y a eu une rixe entre un Tibétain un peu saoul et un commerçant musulman qui lui vendait un ballon en plastique. Le Tibétain a fait éclater le ballon avec sa cigarette ! Ils se sont mis à se battre. Puis d'autres Tibétains se sont mis à taper sur les Musulmans qui étaient autour. La police est vite arrivée et a embarqué tout le monde. Le lendemain, à nouveau, grand rassemblement de Tibétains dans les rues, cette fois pour le jour des danses sacrées du monastère. La police était très nombreuse et cela nous a énervés, les bagarres ont commencé avec des pierres, des coups de bâton et des centaines d'arrestations. Les gens étaient embarqués en masse, et détenus dans n'importe quelle caserne où ils étaient interrogés, battus, et puis pour la plupart relâchés assez vite, mais certains ont disparu. En fait comme les moines avaient refusé de participer à la fête des danses sacrées ce jour là, la police en a arrêté un grand nombre et puis en a tabassé beaucoup. Toute la population était choquée en voyant des jeunes moines être sauvagement battus, sans aucune raison. Finalement le grand lama de Repkong, un homme âgé et très respecté – y compris par ses nombreux des disciples chinois –, a pris une longue écharpe de cérémonie khata et est descendu dans la rue pour parler à la police, espérant faire la paix. Au lieu de quoi, en pleine rue, il s'est fait battre comme plâtre, et a dû être transporté d'urgence à l'hôpital de Xining avec les membres cassés. Prévenus en hâte, ses disciples chinois – de hautes personnalités dit-on – se sont rendus à son chevet et grâce a eux, le lama et quelques moines ont pu avoir un sort plus clément. Une quantité incroyable de soldats a inondé la ville, entourant de sentinelles armées toutes les collines. Nuit et jour, la ville était encerclée. Les professeurs d'écoles, ainsi que tous les fonctionnaires, ont dû monter la garde et espionner leurs voisins. Ils étaient obligés de noter les allées et venues des uns et des autres. Seuls les instituteurs des petits villages avoisinants ont eu la possibilité de continuer leur travail d'enseignant". Maintenant, la ville semble revenue au calme, mais il suffit de faire le tour du monastère pour voir que les moines ont peur de parler, même de vous sourire. Il y a des caméras ici et là, des appartements réquisitionnés pour loger des policiers en civil qui observent depuis les fenêtres, des indicateurs partout. Les cris des soldats s'élèvent régulièrement, comme des aboiements de chiens énervés. Voyant la situation, j'annonce que je ne resterai que quelques jours. Soulagés, mes amis m'en remercient. Cette année, une nouvelle réglementation interdit aux écoles et autres organismes gouvernementaux de recevoir de l’argent de l’étranger. La plupart des ONG sont en attente. Certaines, particulièrement à Lhassa, ont été purement et simplement expulsées. La police n’arrive pas à lire les mails en français et coupe le téléphone Je retourne ensuite à Xining, où, de l’appartement de mes amis, j'envoie un email en français, un message très neutre visant simplement à dire où je suis. Peu après, mes amis remarquent que la ligne de téléphone ainsi que la connexion Internet ont été soudainement coupées. Etonnés, ils vont au bureau des téléphones. On finit par leur dire que la police n'arrivant pas à lire le français, on lui avait purement et simplement coupé la ligne ! Plus tard, à Lhassa, j'entends parler d’une traductrice chinoise qui est appelée par la police à chaque fois qu’il y a des mails en français... En fait, plusieurs amis ont maintes fois essayé, en vain, de m'appeler de l’étranger sur mon téléphone portable qui marchait pourtant localement. Au moment des événements de mars, les médias ont abondamment parlé des milliers de manifestants au monastère de Labrang en Amdo une partie du Tibet historique rattachée à la province chinoise du Gansu. Sur place, il est difficile de savoir combien de prisonniers ont été libérés, je n'arrive pas à avoir de détails. J'apprends qu'il n'est possible d'entrer dans le monastère que si on montre des papiers d'identité. Il en est de même à Kumbum, le plus grand monastère du Qinghai. Les moines sont sous haute surveillance. Le train pour Lhassa Je prends le train pour aller à Lhassa, j'ai obtenu sans problème un permis de 10 jours en touriste individuel pour la Région autonome du Tibet, mais le nombre des lieux où j’ai la permission d'aller est réduit aux villes qui se trouvent sur la route du retour vers le Népal. Je suis seule dans le compartiment jusqu'à Golmud. Là, à trois heures du matin, un Chinois entre et s'installe. Je remarque qu'il porte autour du cou un rosaire et je repère aussi que son téléphone affiche des images de bouddhas chinois. Au lever du jour, nous passons les cols les plus hauts dans la neige, mais comme le train est pressurisé, comme un avion, aucun mal de crâne n'est à craindre à cause de l'altitude. Heureusement les cigarettes sont interdites, sauf dans les toilettes ! Ce qui est bizarre, c'est d’être entouré de neige et d'être dans un compartiment surchauffé. Les femmes dehors lavent leur linge dans un ruisseau glacé. En imagination, je vois passer sur ces rails des montagnes de minerais et le bois de forêts entières, emmenés vers la Chine en dépit des règlements existants. Même les scientifiques chinois ont décrit le Tibet comme le troisième pôle » et ont montré qu'il fondait quatre fois plus vite que l'Arctique et l'Antarctique. Ce chemin de fer véhicule des milliers de colons chinois, ainsi que des troupes, des cargaisons d'armes, de l'artillerie lourde qui seront acheminés jusqu'aux frontières indienne et népalaise. Nous passons par Nakchu. La taille des magasins et des hangars me laisse perplexe. Sont-ils en train de construire, comme je l'ai entendu dire, des abattoirs pour les milliers de yacks que le gouvernement chinois a prévu d’abattre selon leur plan de sédentarisation des nomades ? Actuellement, le système millénaire des nomades est gravement menacé par les nouvelles politiques. Ils doivent quitter leurs terres, vendre à bas prix leurs animaux et sont forcés d'habiter dans de vieilles prisons ou des lotissements inappropriés à leur culture. Ils n'ont aucune expérience du commerce ni de l'agriculture, et se retrouvent extrêmement malheureux et démunis devant un poste de télévision dont les programmes ne leur parlent que de rêves qu'ils ne pourront jamais vivre. Essayer de discuter ou de s'opposer aux ordres du gouvernement est toujours remercié par une arrestation, la prison, la torture et des amendes. Nakchu a tellement changé que j'ai du mal à retrouver mes repères qui ne datent pourtant que de deux ans. Le Chinois qui dort à côté de moi voyage avec un tout petit sac. Il n'a pas d'appareil de photo, juste son téléphone qui sonne assez souvent. Je découvre qu'il a en fait une dizaine d'amis dans le wagon et qu'ils ne cessent de s’appeler pour admirer le paysage "Eh, regardez à droite, le Mont Nyenchen Tangla ! Le lac Nam Tso!" Ils semblent bien connaître ces lieux sacrés où les touristes Chinois déferlent en bus à une fréquence étourdissante pendant les mois d'été. Lorsqu’enfin nous passons sur rainbow bridge », le "pont de l'arc-en-ciel", au-dessus de la rivière Kyichu, nous voyons clairement le sublime Potala. Le groupe d’amis chinois sont déjà tous ensemble, prêts à descendre, et disparaissent en me laissant perplexe. Quel est le but de leur expédition ? "S’il te plaît, ne fais aucune photo de militaire…" La gare est un bâtiment typiquement communiste, rouge et lourd. Actuellement, seule la ligne Chine-Golmud-Lhassa est ouverte, mais au vu de la taille immense de l'édifice, tout porte à imaginer que beaucoup d'autres lignes de chemin de fer vont bientôt être construites. Personne n'a le droit de venir chercher les passagers dans la gare, les taxis attendent bien loin. Un ami m'accueille. Il est sous le choc il n'avait pas pris ses papiers d’identité et sa voiture a failli être confisquée. Par chance, le policier était, comme lui, un Khampa Tibétains originaires du Kham, partie orientale du Tibet historique aujourd’hui partagée entre la et le Sichuan limitrophe. Il a téléphoné au bureau où mon ami travaille pour vérifier son identité, et l'a finalement laissé partir. L'entraide entre Tibétains est bien là! Ouf ! Je découvre de nouvelles autoroutes et des périphériques menant à Lhassa. Seule, je me serais perdue. Pourtant je connais Lhassa depuis 22 ans. A cette époque, les moutons passaient en troupeaux à travers la ville et il était très difficile de trouver la moindre voiture pour aller de la station de bus à l’hôtel. Les bagages étaient transportés par voitures à bras! Mon ami me dit sérieusement "S'il te plaît, ne prends aucune photo de l'armée ou de la police, j'ai peur !" Je comprends que même si elle n’est pas impliquée, tout ce que je fais peut lui être reproché…. Nous nous retrouvons dans ma chambre d’hôtel, bientôt rejoints par un autre ami qui est professeur d'école. Il me montre son téléphone portable dont il a retiré la batterie et me demande de faire la même chose. L'éteindre ne suffit pas car la police peut se servir de nos portables comme micro et écouter toutes nos conversations. Je m'empresse de l'imiter et il me raconte combien tout est lu, écouté. Il y a des centres d'espionnage multiples, pour tous les dialectes tibétains et quelques langues étrangères. Le pauvre ! Il doit aller plusieurs fois par semaine écouter des séances de rééducation patriotique et répondre à toutes sortes de questions. Tous les directeurs d'école sont tenus d’y assister et apprendre par coeur des louanges du gouvernement communiste, critiquer le gouvernement tibétain en exil et le système féodal du passé mené par le Dalaï-lama. Ils doivent aussi mémoriser le détail de tout ce que les Chinois ont apporté au Tibet sur le plan économique et social. Le tout est très ennuyeux et répétitif. Mais il faut être là. La société est organisée en différentes "unités de travail" qui regroupent les divers corps de métier, ainsi qu'en "comités de quartier" qui doivent se réunir régulièrement pour recevoir les instructions du gouvernement. De cette façon, tout le monde peut être bien contrôlé ! Aux premières lueurs du jour, le clairon militaire sonne et, très vite, les aboiements des militaires commencent, secs et heurtés, bientôt suivis par une voix sirupeuse cascadant une mélopée irréelle. C'est un chant de louange à la patrie. Quelques moments encore et les bruits de bottes scandés résonnent dans la rue, tchlac tchlac tchlac. Ils sont une trentaine, tous casqués et paradant, le fusil pointé vers le ciel. Certains ont des boucliers anti émeutes, d'autres des bâtons électriques et des cartouchières en bandoulière. Il y a aussi les camions militaires bâchés qui promènent des soldats en armes tout autour de la ville pour dissuader les manifestants. Les gens sont maintenant tellement habitués qu'ils les regardent à peine. Je marche vers le centre de la ville tibétaine, sur le Barkor, ou les Tibétains tournent depuis des centaines d'années autour du Jowo, fameuse statue du Bouddha de l'infinie compassion, offerte au VIIIe siècle par la princesse chinoise Wencheng à son époux le grand roi tibétain Songtsan Gampo. Tous les jours, des milliers de Tibétains tournent autour d’elle. Sur le cercle extérieur, la rue est encombrée de gens et de marchants. Sur celui du milieu, autour du temple, ils font tourner les moulins de prières. Et dans l’enceinte du temple, ils vont de chapelle en chapelle offrir du beurre fondu pour les lampes qui brûlent devant les statues. Dans le saint des saints, un moine "offre" plusieurs couches d'or, passées au pinceau sur la statue du Jowo. Devant la porte principale du temple du Jokhang, des centaines de gens se prosternent de tout leur long, encore et encore, tout au long de la journée, sans avoir l'air de remarquer les nombreux militaires qui passent en groupe de cinq au milieu d'eux. Pour moi c'est un choc. Mon cœur se serre à la vue des soldats en uniforme postés sur les toits, fusil au poing, prêts à tirer. Il y a des petites caméras partout et des grappes de policiers tibétains habillés en noir, sous des tentes publicitaires Coca-Cola. Ils sont aussi armés et arborent un téléphone portable accroché à l'épaule. Cela fait des années qu'il y a des policiers dans les rues, mais maintenant leur nombre est ahurissant. Ils ont planté leurs petites tentes tous les 20 mètres, partout, partout. En fait, ils ont plutôt l'air de s’ennuyer. Leur seul passe temps semble être de boire du thé et de se chauffer le dos au soleil. Une amie me raconte "Le gouvernement pour nous énerver a fait venir les policiers de Chamdo ville de l’est du Tibet. Nous, les gens de Lhassa, on appelle les gens de Chamdo 'enculeurs de cadavre' et eux nous appellent 'pisse partout' ! Evidemment cela n’arrange pas l’atmosphère !" En parlant avec des amis, j'apprends qu'en mars dernier, au moment des manifestations, les autorités avaient désarmé les policiers tibétains, car ils ne leur faisaient pas du tout confiance. Maintenant, certains portent une mitraillette noire qui ressemble à un jouet de luxe. Casqués, ils tournent dans le sens contraire des pèlerins, qu'ils touchent presque tant la foule est dense, sans échanger avec eux le moindre regard. Deux mondes qui partagent le même espace tout en évitant tout contact. Des spécialistes lisent une à une les lettres du Dalaï-lama C’est pour la paix que les Tibétains ne cessent de prier, en tournant autour des temples sacrés, avec constance, jour après jours, comme si de rien n’était. J’aime les suivre, et les voir se prosterner avec respect devant le Potala, la "maison blanche" du Dalaï Lama. Le billet pour entrer au Potala est relativement cher, 100 yuans environ 10 €. Ces temps-ci, peu de pèlerins y entrent, et, depuis mars, encore moins de touristes. En été 2007, 7 000 personnes le visitaient chaque jour. Il fallait réserver dix jours à l'avance. Après avoir gravi les nombreuses marches, j'arrive dans les appartements de Sa Sainteté le Dalaï-lama. La moitié de la salle est couverte de bâches, on m'explique que le gouvernement a envoyé des spécialistes qui lisent une à une toutes les lettres laissées par le Dalaï-lama. Cinquante ans après la fuite du Dalaï-lama, ils fouillent encore les lieux. Très vite, deux gardes chinois me suivent de salle en salle. Plusieurs des moines du Potala, habillés en blouse grise, me reconnaissent et m'accueillent avec de grands sourires. Au bout d’un moment les deux soldats finissent par trouver cela plutôt amusant et se mettent à sourire eux aussi. Pour ces moines, la vie est dure, ils sont surveillés en permanence par les caméras vidéos et micros. Je m'étonne qu’on ne puisse plus grimper les escaliers qui mènent à la pièce la plus sacrée, celle du Bouddha Toukdjé Chenpo de la grande compassion car, me dit un moine, on craint ici les voleurs. Il est vrai que de plus en plus ce sont des Chinois civils ou militaires qui visitent les lieux, sans montrer la moindre dévotion pour ces trésors sacrés. Lhassa est vide cet hiver. Les agences de tourisme ont fait cet été à peine 12% de leurs recettes de 2007. Et maintenant, pendant l'hiver, les pèlerins tibétains qui traditionnellement viennent de l'Amdo et du Kham, sont restés chez eux, car ils n'ont pas les papiers nécessaires pour passer les nombreux contrôles de police. Par conséquent, la plupart des hôtels ont dû fermer. Ceux qui fonctionnent encore doivent installer petites caméras de surveillance en circuit fermé, des CCTV, qui doivent enregistrer pour la police tout ce qui se passe dans le hall d'entrée et dans le restaurant. Certains hôteliers tibétains résistent encore. Mais s’ils s’entêtent à refuser de les installer, leur hôtel sera fermé. Pour les y contraindre, le soir, plusieurs militaires viennent occuper les lieux, histoire d'intimider la clientèle. Je retrouve un jeune ami qui, il y a quelques années, avait tenté plusieurs fois d'aller en Inde, mais s'était fait chaque fois arrêter en chemin, et y avait finalement renoncé. Du coup, il avait ouvert un petit restaurant à Lhassa l'an dernier. Quelques jours après les émeutes de mars, il s'est fait arrêter avec un grand nombre d'autres personnes, simplement parce qu’ils n'étaient pas de Lhassa. Ils ont été incarcérés dans la prison de Tolong et battus tous les jours avant même d'avoir été interrogés. Pour toute nourriture, un ti-momo, pain blanc à la vapeur, et pas du tout d'eau pendant plusieurs jours, ils devaient boire leur urine. Il fut relâché au bout de 15 jours. Dans son groupe, il a vu deux personnes mourir et a entendu parler d'autres morts mais ne sait pas combien. En fait nul ne connaît exactement le nombre de morts, mais il y en a eu au moins deux cents à Lhassa. Il paraît qu'il y a un champ près de Lhassa où les cadavres ont été enterrés. Neuf mois sont passés, mais rien ne semble s’être assoupli depuis avril. La police secrète comme la police en uniforme sont omniprésentes. Toutes les entrées des rues qui mènent au temple principal de Lhassa, le Jokang, sont flanquées de soldats chinois armés et casqués. Le spectacle terrifiant de gens tirés à bout portant et mourant en pleine rue a pris fin, mais ceux qui ont vu ces drames m’en parlent, secoués de sanglots. "A ce moment là, me dit un ami, absolument personne n’est sorti dans la rue pendant trois jours, tout le monde se terrait en espérant que la police ne vienne pas nous tuer à domicile, surtout la nuit, aveuglément, sans aucune raison. Nous dormions tout habillés car nous pouvions être embarqués sans même avoir le temps d’enfiler un pantalon". Il ne s’agit pas de paranoïa. La peur est bien fondée, et les enlèvements de jeunes hommes dans les rues de Lhassa sont encore nombreux. Les parents sont inquiets et vont chercher leurs grands enfants à l'école. Ils leur donnent des sandwiches pour qu’ils ne sortent pas à l'heure du déjeuner. N’importe quelle rencontre peut provoquer une arrestation, la semaine dernière, un ami guide est simplement allé rendre visite à sa cousine chez elle à Lhassa. Le lendemain, elle s'est faite arrêter et aujourd’hui, il n’a aucune idée d’où elle est. Pourtant ni l’un ni l’autre n’ont la moindre activité politique. Cette année plus que jamais, les guides qui sont allés en Inde et parlent le mieux l'anglais ont été rayés de la liste de guides officiels. Ils se retrouvent donc sans aucune possibilité de travailler ni dans le tourisme, ni dans l’enseignement. C’est terriblement injuste, car il y a quelques années, le gouvernement encourageait les exilés à revenir au Tibet en leur donnant divers avantages comme des coupons de nourriture. Cette situation est désastreuse car bien des parents ont envoyé leurs jeunes enfants en Inde, au prix d’un voyage clandestin souvent dangereux, à travers les montagnes enneigées, pour qu’ils reçoivent une éducation tibétaine, telle qu’en dispense le "Tibetan Children’s Village" de Dharamsala par exemple. Ce faisant, ils ont simplement l’espoir de créer une génération de Tibétains qui reviendra au pays en pouvant partager la culture authentique tibétaine. En fait, d'après certains rapports, 78% de la population du plateau tibétain est encore analphabète alors qu'en exil, 94 % est éduquée. Cette année la vente de cordyceps, le yartsa gungbou, "racine-chenille", utilisée pour la médecine traditionnelle chinoise, a été interdite. Dans les rues de Lhassa, quelques vendeurs continuent d’en proposer à la sauvette, mais la plupart du temps l’argent qui venait de cette manne facile à gratter sur les terres du plateau tibétain manque dans les familles, causant aux villageois comme aux nomades un déficit énorme. Les nomades qui forment à peu près 70 % de la population tibétaine sont encore plus contrôlés et obligés de rejoindre les bâtiments moroses qui leur sont alloués. Les yaks semblent avoir reçu une condamnation à mort à court terme. En fait, depuis vingt ans, tout le système millénaire des bergers nomades passe progressivement sous le contrôle des Chinois ils doivent quitter leurs pâturages, vendre à bas prix leurs animaux, sont forcés d’habiter dans de vieilles prisons désaffectées ou des lotissements inappropriés à leur culture. Le coût de la vie a terriblement augmenté cette année et la situation financière est vraiment préoccupante pour la plupart des Tibétains. Simplement survivre est une gageure pour beaucoup d’entre eux les promesses d’aides faites par le gouvernement aux paysans obligés d’arrêter de cultiver l’orge pour planter des arbres, ou aux nomades obligés d’acheter à crédit leur nouvelle maison, ne sont que paroles vides, la compensation est inadéquate. Tout le système ancestral de la paysannerie tibétaine a été disloqué, désorganisé, entraînant une véritable catastrophe économique et écologique. Certains officiels chinois commencent à le reconnaître. A vrai dire tous les Tibétains souffrent. Si par exemple ils ont un travail de cadre dans une banque, à la radio ou dans l’éducation, il leur est impossible de changer de travail et de démissionner. Ils doivent adhérer au Parti Communiste et chanter ses louanges. Quand ils résistent, ils subissent le harcèlement de leurs camarades jusqu’à ce qu’ils cèdent. Impossible pour les fonctionnaires d’obtenir un passeport. Fini le rêve d’aller en Inde pour rencontrer le Dalai Lama, même en secret. Je vais au monastère de Sera, réputé pour les débats philosophiques très animés des moines. Aujourd’hui rien ne s'y passe plus, le monastère semble hanté il n’y a plus que très peu de pèlerins et trois touristes blancs accompagnés d'un guide, au milieu des dizaines de policiers en noir, aux aguets. On trouve aussi parmi les moines quelques informateurs. Dans la chapelle de Tamdrin, trois vieux moines ridés guident la tête des pèlerins sous le pied de la statue de la déité enrobée d’écharpes de soie. L’ambiance est étonnante dans cette salle où les protecteurs grimacent d’un air terrifiant. Au premier étage une cérémonie est rythmée avec force par les tambourins d’un petit groupe de moines, presque tous très âgés. A vrai dire, ils n’ont été maintenus ici que pour offrir une façade de monastère aux pèlerins et aux touristes. Ils en sont réduits à garder les chapelles, ouvrir et fermer les portes, remplir et vider l’eau des bols d’offrande. Il leur est interdit de parler à quiconque de la réalité de la situation sur 1 200 moines, il n’y en a ici plus qu’une centaine, les autres sont en prison, peut-être à Nyintri dans le Kongpo Est du Tibet, personne ne sait vraiment ni où ils sont, ni combien sont encore vivants. Tortures barbares Les tortures qu’ils ont subies sont sans aucun doute horribles. On m’a parlé de prisonniers auxquels la famille avait apporté de la nourriture. Ils en ont été punis on leur a déboîté les épaules, détruit les cartilages des coudes, des genoux et laissés handicapés à jamais. Ils endurent aussi des séances de matraque électrique si intenses que leurs neurones peuvent disjoncter. Ils se font retirer beaucoup de sang, sont utilisés comme jouet sexuel ou comme jouet d’entraînement aux arts martiaux. Beaucoup perdent la vue, deviennent infirmes à vie. On parle de prisonniers qui ont été libérés au seul de la mort pour qu’ils aillent agoniser ailleurs. Petits ou grands, tous les monastères du plateau tibétain sont sous un contrôle très strict, soit qu’ils soient soumis à des séances de rééducation, soit que la police passe pour interroger, harasser, intimider, voler ou détruire sans vergogne. Le monastère de Drepung proche de Lhassa est désormais sous le contrôle des moines du monastère Tashi Lumpo de Shigatzé connus pour être de dociles collaborateurs des Chinois. Ganden autre grand monastère des environs de Lhassa est tout simplement fermé. Les images de milliers de soldats casqués envahissant l’hiver dernier les ermitages isolés où cent ou deux cents moines vivaient retirés sont encore vivantes dans les esprits. C'est la raison pour laquelle je n’ai pu aller nulle part dans la région de Lhassa, ni au monastère-ermitage de Trayerpa, ni à la nonnerie de Terdroum ou celle de Shuksep, ni à Samyé-Chimphou, car à chaque fois j’aurais dû demander un permis, être accompagné par un guide et, sur place, subir la surveillance des trois genres de police qui sont omniprésents. Partir dans les ermitages m’a donc paru présenter un risque pour les locaux et je me suis restreint à faire quelques koras autour du Jokang, et à tourner autour de Lhassa avec les pèlerins. Autour de la colline sacrée du Chakpori, un lama du Kham faisait graver sur des pierres tous les écrits du Bouddha, travail spectaculaire auquel beaucoup aiment participer en faisant des donations, si humbles soient-elles. Même en prenant un maximum de précautions, en évitant de parler aux amis qui me reconnaissaient dans la rue, j’étais conscient du risque que je représentais pour les gens que je croisais. J’ai donc renoncé à prolonger mon voyage et je suis rentré au bercail. Bizarrement les touristes qui partaient de Lhassa par avion cet hiver n’ont pas eu à ouvrir leurs valises à la douane. Il paraît que plusieurs touristes qui ont voulu prendre des photos de l’armée ou de la police se sont fait confisquer le film ou la carte. J’ai entendu dire qu’un touriste s’était même battu pour garder ses clichés, mais en vain. L’envie de prendre photos ou films m’a démangée plusieurs fois, surtout quand je croisais les nombreux groupes de militaires casqués qui gardent les ruelles menant au Jokhang ou au temple de Ramoche leurs boucliers sont abîmés comme s’ils avaient reçu une avalanche de pierres ! On se demande d’ailleurs pourquoi l'entrée du temple de Chidé est tellement gardée, alors qu’elle ne fait que deux mètres de large… A vrai dire, les militaires sont plutôt à plaindre quand on les entend tôt le matin tirer à qui mieux mieux sur des cibles en carton, qu’on les voit parader armés jusqu’aux dents au milieu d’une foule désarmée occupée à faire ses dévotions. C’est épouvantable d’avoir à tirer sur des êtres qui prient pour la paix. Combien de temps vont-ils encore être obligés de déambuler lourdement casqués dans les ruelles de Lhassa ? J’en ai vu qui étaient visiblement ivres le soir. Rester postés aux carrefours nuit et jour, n’est ce pas un genre de supplice ? Je ne sais pas combien ils sont payés, mais au Tibet, il fait bien trop chaud en plein soleil et bien trop froid le soir pour rester immobile pendant des heures. De plus, ils doivent rester loin de chez eux pour deux ans au moins, sans pouvoir faire la moindre remarque à leurs supérieurs. Aujourd’hui la communauté des Chinois bouddhistes à travers le monde grandit, de nombreux lamas sont invités dans les grandes villes de Chine, et nombreux sont leurs élèves qui reconstruisent les monastères au Tibet même. Les livres des lamas qui enseignent à Taiwan circulent librement dans les mégalopoles comme Pékin ou Shanghai, il est même de bon ton d’avoir un maître spirituel tibétain et de l’aider à construire des temples et à ériger des statues au Tibet. L’intelligentsia chinoise porte un vif intérêt aux sources spirituelles et culturelles qui, encore vivantes au Tibet, ont presque totalement disparu en Chine. Des Chinois fans du Karmapa J’ai vu des milliers de Chinois en Inde, à Bodh Gaya, l’an dernier devenir quasi-hystériques devant le Karmapa, comme s’il était une pop star. Certains Tibétains savent tout cela, car ils arrivent tout de même à avoir accès à la BBC ou à Radio Free Asia » par satellite TV ou par Internet. J’ai été surpris de voir que parfois les Tibétains sont très informés de ce qui se passe actuellement dans les discussions du Parlement en exil à Dharamsala. Ils parviennent même à suivre les enseignements du Dalaï-Lama en direct ! Le plateau tibétain représente presque un tiers de la superficie de la Chine. Il regorge de ressources minérales et forestières. C’est un territoire inhabité, dont les sources irriguent la quasi totalité du continent asiatique. Les Tibétains ne retirent pas les avantages de la modernisation prônée par Pékin. Le chômage va grandissant, les prix augmentent et les ressources traditionnelles, comme la culture de l’orge et les produits de l’élevage des yaks, moutons ou chèvres, ont été dramatiquement désorganisées par une politique autoritaire et brouillonne qui n’a cessé, au cours des années, de donner des ordres et des contrordres. De plus, mines et exploitations hydrauliques prolifèrent, défigurant les espaces magnifiques et accaparant les meilleures terres des Tibétains qui n’en tirent ni l’avantage d’un dédommagement financier, ni une possibilité d’emploi. Dans ces conditions, comment pourraient-ils ne pas se révolter, même si cela semble être un suicide collectif ? Certains Tibétains imaginent une autre forme de résistance, par exemple des commandos qui feraient exploser les infrastructures du train, des routes, des barrages. Mais ce serait aller à l’encontre de la vision du Dalaï-Lama et, de toute façon, la délation est telle à l’heure actuelle que tout complot serait vite découvert. Alors une autre forme de résistance apparaît les Tibétains deviennent de plus en plus végétariens. Certains lamas, répétant les conseils du Dalaï-Lama et du Karmapa, insistent sur le fait qu’il est vertueux de ne pas faire souffrir les animaux. Dans le Kham, dans l’Amdo et même à Lhassa, on voit des restaurants végétariens s’ouvrir. De plus en plus de Tibétains passent les quatre mois sacrés de l’année sans consommer une bouchée de viande, ce qui est aussi une protestation non déguisée contre les abattoirs gouvernementaux et ceux gérés par les musulmans, qui se multiplient à la faveur de la sédentarisation forcée des nomades et de la vente obligée de leurs troupeaux. Depuis 50 ans, de nombreuses manifestations à Lhassa et dans beaucoup de localités tibétaines ont été violemment réprimées. Rien ne semble à même d’améliorer la situation, et les actions en faveur des droits des Tibétains – le militantisme des Tibétains de l’exil ou celui des défenseurs des droits de l’homme, les prix et médailles décernées au Dalaï lama ou ses rencontres avec les leaders politiques du monde – semblent même empirer leur sort. Au point que le Dalaï Lama déclare parfois que "le peuple tibétain semble être condamné a mort". Mais en cette année 2008, les Tibétains ont vécu un tournant important vers la réalisation d’une identité tibétaine unifiée, au delà des divisions régionales entre le Kham, l’Amdo et le Tibet central. Quant aux Tibétains en exil, ils se sont tous ralliés à la politique de résistance non violente de Sa Sainteté le Dalaï-Lama.
Témoignages M. « Belle découverte, beau et bon moment tout en douceur. Le soin aux bols tibétains que Sabrina m’a prodigué m’a tout simplement accompagné à me détendre, un moment que l’on m’a offert. Tout doucement, Sabrina vous emmène le temps d’une heure et vous transporte vers l’apaisement. Merci encore pour cet
Les bols chantants proviennent de la région de l'Himalaya. Par la suite, ils ont commencé à être utilisés dans les régions du Tibet, de l'Inde, du Népal, du Bhoutan et du Ladakh. Le bol tibétain chantant est maintenant mondialement connu pour son effet curatif et nettoyant. Le son traditionnel bouddhiste des bols chantants a plus de 3000 ans. Aujourd'hui, ils sont produits au Tibet, en Inde et au Népal. Les bols chantants tibétains sont souvent appelés un outil mystérieux pour la méditation et la guérison. Pendant de nombreux siècles, les bols ont été largement utilisés au Népal, au Tibet, principalement pour la méditation, les cérémonies religieuses, les rituels traditionnels, le feng shui, comme instrument de guérison, pour le massage thérapeutique et l'harmonisation des chakras. En outre, des bols chantants sont utilisés dans certaines maisons népalaises au lieu d'ustensiles de cuisine. Les femmes enceintes mangent d'eux pour nettoyer la nourriture. Ils sont également souvent utilisés pour effacer les minéraux, les pierres utilisées en litothérapie lire ici. Que faites-vous des bols chantants? Actuellement, il existe de nombreux types de bols chantants fabriqués à partir de divers métaux. Par exemple, les bols chinois sont faits d'un alliage de 3 à 5 métaux, et ils ont le même son que les tibétains. Cependant, un vrai bol chantant tibétain devrait être fait d'un alliage de métaux 7 argent Lune 0,002%; cuivre Venus 71,3%; étain Jupiter à 28,6%; de fer Mars jusqu'à 0,3%; mercure Mercure 0,01%; or soleil 0, 0001%; Plomb Saturne 0,001%. Le pourcentage de métaux peut différer légèrement. Le plomb et le mercure dans les bols tibétains sont contenus dans une petite quantité, en outre, ils sont mélangés avec d'autres métaux, par conséquent, les bols ne causent pas de dommages toxiques pour la santé. Certains anciens bols de refroidissement contiennent plus de fer et d'étain, donc leur couleur est plus grise. En outre, les anciens Tibétains utilisaient une météorite pour fabriquer des bols qui, selon la légende, ont une énorme énergie. Bols tibétains Les bols chantants tibétains ont été utilisés pour nettoyer l'espace de l'énergie négative et de l'encens pour empêcher la propagation des virus lire ici.Dans les maisons, ils sont généralement placés dans la pièce principale pour se protéger des ondes négatives. Des sons de bols chantants - les ondes sonores créent des connexions avec les chakras. Ils contiennent des substances cristallines qui interagissent avec le matériau cristallin» du corps humain, tels que le sang, les os et l' les Tibétains, certaines cellules humaines vibrent à certaines fréquences ondes sonores."OM" est un son thérapeutique qui reproduit un bol. Les bols chantants aident le corps à se détendre, à apaiser l'esprit et à économiser de l'énergie. Les physiothérapeutes utilisent souvent des bols similaires à des fins thérapeutiques et reconnaissent leur pouvoir mystique. Les vibrations sonores fines affectent particulièrement les points d'énergie du corps humain - les chakras. Cela est dû au fait que le son est plus facile de passer à travers un milieu liquide eau, et la personne est principalement composée d'eau lire ici.Ceci explique pourquoi le corps est si réceptif au son des bols chantants. Chaque chakra correspond à certains organes, par conséquent, le son affecte les chakras, qui calment l'organe malade. En outre, vous devez choisir le bon bol pour harmoniser les chakras. Quand dois-je utiliser un bol chantant? Un bol doit être utilisé si l'énergie de l'environnement de travail reste au même niveau ou devient négative. Utilisez-le pour expulser tous les Sha négatifs. Il est également utilisé pour éliminer la colère, la dépression, le stress, la maladie, les accidents. Grâce au bol chantant, toutes les énergies négatives peuvent être converties en énergie positive purifiée pour attirer la richesse et le bonheur. En outre, les experts recommandent d'utiliser une tasse pour nettoyer une vieille maison ou une maison qui n'a pas été réparée depuis longtemps. Les maisons plus âgées ont tendance à avoir une faible énergie, surtout si elles ont parfois des événements tristes. Outre le nettoyage de vieux bâtiments, appartements, il peut être utilisé lors de l'entrée dans une nouvelle maison, chalet, appartement, pour chasser les forces de ceux qui y vivent, ou pour nettoyer la pièce et activer l'énergie positive. Sur le lieu de travail, bureau, magasin, le bol est souvent utilisé pour attirer les investisseurs, les clients, les visiteurs, l'argent et la richesse. Il est particulièrement recommandé de nettoyer au début de l'année, le début d'une nouvelle carrière, les affaires, le travail pour améliorer et apporter la bonne chance. Bols chantants pour le traitement et la méditation Cet article a été utilisé pendant des milliers d'années pour la méditation, le traitement et la purification. Son son forme le son sacré de "OM".Certains les utilisent sur les chakras avec certains sons et vibrations comme un massage sonore. Nous savons que les basses sont associées au chakra inférieur et que les hautes fréquences sont généralement associées aux chakras supérieurs. Les fréquences particulières de la cuvette aident à stimuler le corps à rétablir sa fréquence harmonique, aident à reproduire les ondes alpha dans le cerveau et sont libérées lors d'une relaxation profonde. Lors de l'utilisation du bol, le son doit être amplifié, pour cela il faut un peu tourner le stick. En Feng Shui, il est utilisé avec la cloche, le chant, l'arôme du parfum. L'application autonome du bol chantant tibétain Sa vibration sonore procure une relaxation importante pour la relaxation. Tenez le "bol" dans la paume gauche pour les droitiers, droitier à côté du plexus solaire. Lorsque vous produisez du son, gardez les yeux ouverts, sentez la vibration. Puis répétez l'expérience avec les yeux fermés. Pendant ce temps, vous pouvez éprouver différents sentiments chaleur, soulagement, stimulation, irritation, sévérité, etc. Un bol peut être placé sur le ventre, la poitrine, les chakras définis;faites tourner le stick dans le sens des aiguilles d'une montre sur le bord du "vaisseau", en donnant ainsi un son agréable. En outre, ce son fournit un massage vibro thérapeutique pour détendre les muscles. Il peut également être placé sur les jambes, les bras, le dos, etc. Pour extraire le son, vous devez frapper le bol légèrement avec un bâton, puis commencer à tourner strictement dans le sens des aiguilles d'une montre. Grâce à ce massage, relaxation profonde, nettoyage, renforcement du système immunitaire, élimination des maux de tête et stress. Cette méthode est pratiquée en Allemagne, en Belgique, en France, en Suisse, en Autriche, en République tchèque, en Pologne, au Danemark, au Canada, aux États-Unis et en Amérique latine. Souvent utilisés en thérapie, des bols de différentes tailles produisent des vibrations et des sons variés. Chaque bol est pris avec une certaine partie du corps, de sorte que le corps du client commence à vibrer harmonieusement. Le massage sonore est très apprécié par les clients, ce qui apporte d'énormes avantages.
Pourles utilisateurs d'un appareil tactile, explorez en appuyant ou en balayant. Se connecter. S'inscrire. Explorer. Éducation. Sujets . Astrologie. En savoir plus. Enregistrer. Article du . wemystic.fr. Reconnaître les esprits de la nature - WeMystic France. Découvrez dans cet article comment reconnaître les différents esprits de la nature. WeMystic France. 92k abonnés.
Caractéristiques De haute qualité, ce bol unique produit un son et des vibrations exceptionnels qui viennent résonner au plus profond nos cellules pour une guérison de l’être en profondeur. Il est parfait à utiliser en soin sonore, sonothérapie ou soin énergétique. Relié à la lune, il apporte sa touche féminine à tes voyages sonores et permet de puissantes méditations. Provenance et fabrication Ce bol chantant tibétain unique fait partie de la très particulière famille des bols ''Pleine lune'', soit la famille ''empereur'' des bols chantants. Il est constitué d’un alliage de 7 métaux différents cuivre, étain, zinc, fer, plomb, or et argent et élaboré par des artisans forgerons spécialisés de la vallée de Katmandou au Népal. Sa particularité ? Il a été conçu un soir de pleine lune afin d’être habité des puissantes énergies lunaires. Conçus uniquement une nuit par mois, les bols ''Full moon'' sont rares et difficiles à trouver, ce qui explique la différence de prix avec un bol 7 métaux ''classique''. Les contrefaçons venant du Népal, d’Inde ou de Chine sont malheureusement monnaie courante, mais sont décelables en écoutant la sonorité du bol. Il est très facile de reconnaître la différence entre le vrai et le faux, même sur internet. Accessoires Le maillet en bois et le coussin sont offerts avec ce bol chantant. Ces accessoires sont aussi de fabrication artisanale. Plus d'informations sur les bols tibétaines par ici
Commentreconnaître un vrai bol tibétain ? Le bol tibétain est très en vogue actuellement sur le marché. Il bénéficie d’une grande popularité depuis quelques années en raison des nombreux bienfaits qu’il procure à ses utilisateurs. Suite. Norme WC PMR 2020 / 2021 : explications et applications des normes handicapés . Pour assurer un accès facile aux toilettes à tout le
Être capable de différentier un tapis noué main d’un tapis mécanique n’est pas chose aisée lorsque l’on n’est pas familier avec l’univers des tapis d’orient. Entre les dessins, les nœuds, les compositions, identifier la vraie valeur d’un tapis peut être un vrai casse-tête chinois. Dans ce guide, vous allez apprendre tout ce dont vous avez besoin de savoir pour identifier un authentique tapis noué main comme un professionnel. L’importance d’identifier un tapis noué main Que cela soit pour votre culture générale ou bien pour être sûr de payer un tapis à sa juste valeur, il est fortement conseillé d’être capable de reconnaître un tapis noué main. La différence de prix entre un tapis noué main et un tapis mécanique Il faut savoir que dans le monde du tapis oriental, il y a une nette différence de prix entre un tapis mécanique et un tapis noué main. C’est pour cette raison qu’il vous faut identifier clairement les différences pour comprendre les subtilités du vrai tapis d’Orient. La différence de prix entre la mécanique et le fait main s’explique entre autres par le temps de travail passé par le tisseran. En moyenne, un tapis mécanique se fabrique en 1 heure tandis qu’un tapis noué main prendra plusieurs mois si ce n’est des années. Vérifier l’arrière du tapis Si vous devez retenir un chapitre de notre guide c’est bien celui-ci. Savoir lire » l’envers du tapis vous permettra de rapidement identifier le type de fabrication du tapis ainsi que sa valeur estimative. L’apparence des nœuds Le premier réflexe est d’observer les nœuds sur l’envers du tapis. Si les nœuds forment des lignes bien droites de même taille faisant penser à un canevas, il s’agit d’un tapis mécanique. Dans le tapis noué main, on reconnaît l’aspect artisanal par l’irrégularité des nœuds tant au niveau de leur alignement sur la trame qu’au niveau de leur apparence/forme. Ainsi par exemple, pour reconnaître un tapis iranien noué main, vous constaterez que les nœuds ne sont pas tous homogènes. Certains seront plus grands que d’autres et vice et versa. Dans un tapis de prestige à forte valeur, les nœuds sont minuscules. Ils sont presque invisibles. Très souvent d’ailleurs, lorsque vous êtes dans une galerie de tapis d’orient, le vendeur vous montrera l’envers du tapis afin de vous montrer sa qualité. L’envers d’un tapis de grand prestige iranien Ghoum » Les tapis Hereke en soie par exemple, tapis de prestige turc, sont composés d’environ 1,5 millions de nœuds au mètre carré. Ainsi, ces derniers sont de petites tailles. L’apparence des franges Les franges se situent à l’extrémite du tapis. Lorsque le tapis est fait main, les franges font parties de la trame du tapis dans la continuité des chaines. Elles sont bloquées par une couture appelée aussi le point d’arrêt afin d’éviter que le fil de trame se défiloche. Dans un tapis mécanique, les franges sont cousues sur les extrémités du tapis. Ainsi pour facilement reconnaître s’il s’agit d’un tapis mécanique, il vous suffit de regarder l’apparence des franges sur l’envers du tapis. Souvent, une bande entière de tissu a été cousue afin d’y insérer les franges. Si vous vous rendez compte que les franges ont été rajoutées », vous avez la certification que c’est un tapis mécanique. Les couleurs à l’arrière du tapis Dans un tapis noué main, on doit être capable de retrouver l’ensemble des dessins et motifs présents sur l’endroit du tapis. Observez attentivement les couleurs. Est-ce qu’elles ressortent fortement à l’arrière du tapis ? Si elles ne ressortent pas beaucoup et que vous voyez comme un filet blanc masquant les couleurs, c’est déjà un premier signe que le tapis est mécanique. Dans la photo précédente d’un tapis mécanique montrant ses noeuds homogènes, vous avez certainement déjà pu identifer ce filet blanc » venant masquer les couleurs et les dessins du tapis. Exemple de tapis mécanique où l’on peut se rendre compte que les couleurs et les dessins sont masqués. Photo d’un tapis d’orient noué main vue de l’arrière. On peut se rendre compte que les couleurs et dessins ressortent beaucoup plus. Les matériaux utilisés du tapis Un expert pourrait reconnaître un tapis mécanique les yeux fermés. Parfois, le simple touché peut nous dire en quelques secondes si ce tapis a été fait main ou à la machine. La texture du tapis va jouer un rôle important. Reconnaître un tapis en soie synthétique La température ressentie au toucher Très souvent la soie naturelle est un peu plus froide au toucher tandis que la soie synthetique sera plus tiède. Attention, cette petite astuce peut parfois être trompeuse. En effet, si le tapis mécanique est resté dans un coffre en hiver de longues heures, il se peut qu’il soit froid au toucher alors que c’est de la fausse soie ! Lorsque que l’on touche un tapis d’orient en soie naturelle, on peut sentir chaque petit nœud, on sent une grande finesse. Sur un tapis en soie mécanique, la soie paraît plus épaisse. La finesse n’est pas pareille. La réaction de la soie face à une flamme Il existe une autre méthode pour différentier la soie naturelle et la soie synthétique. Notez bien que celle-ci est irréalisable en magasin. Cela consiste à oter un petit fil de soie présent sur le tapis puis le brûler avec un briquet ou une allumette. La réaction de la soie face à la flamme vous dira immédiatement si celle-ci est synthétique ou bien naturelle. Si le fil fond, se consume instantanément en dégageant une fumée de couleur noire, cela signifie que la soie est synthétique. Pour ce qui est de la soie naturelle, elle cessera de brûler immédiatement lorsque l’on retire la flamme. De plus, cela dégagera une odeur faisant penser à un cheveu brûlé. Où trouver des tapis faits main Si vous souhaitez acheter un tapis noué main, il est fortement recommandé de vous rendre chez un marchand ayant pignon sur rue. De façon générale, nous vous déconseillons les marchés. Choisissez plutôt un magasin de tapis d’orient avec une certaine ancienneté qui pourra vous procurer factures et certifcats d’origine.
Vouscitez Hitler et il est vrai que des lamas tibétains l’ont appuyé. Des nazis se sont rendus au Tibet pour y être initiés à certains secrets ésotériques. Le choix de la svastika comme emblème du national-socialisme en est le meilleur exemple. Mais les Tibétains ont leurré les rêveurs nazis, et ils ont finalement favorisé leur
12 January 2021 Avez-vous déjà fait chanter un bol tibétain ? Si oui, votre esprit est probablement marqué par la puissance de sa résonance. Le son qui se propage à travers la pièce semble venir d’un autre monde, les vibrations se répandent telles des ondes bienveillantes et apaisantes, dont la force ne vous laisse jamais insensible. Outil de méditation privilégié, les bols tibétains ont également de grandes vertus apportant la guérison . Focus sur une thérapie méconnue mais des plus efficaces L’origine des bols Personne ne sait exactement de quand datent les premiers bols tibétains, l’origine mystérieuse qui entoure ce magnifique objet lui attribue encore plus de charme. On estime leur apparition alors que la religion Bön, préexistante au Bouddhisme, prédominait au Tibet. Aujourd’hui ils sont fait de bronze ou de cuivre, mais à l’origine les bols étaient fabriqués à partir de sept métaux distincts, symbolisant les astres l’argent la Lune le cuivre Vénus l’étain Jupiter le fer Mars le mercure Mercure l’or le Soleil le plomb Saturne Les sept alliages représentent également les sept chakras, leur résonance permettant d’équilibrer chacun d’entre eux, mais aussi les sept jours de la semaine. Comment faire chanter un bol tibétain ? On peut faire vibrer un bol par différentes approches. Il existe une multitude de tailles produisant des sons bien distincts et autant de bâton servant à les produire. On peut frapper plus ou moins doucement le bol pour l’entendre sonner jusqu’à ce que les vibrations s’apaisent, ou bien faire rouler le bâton en le tenant comme un stylo tout autour de celui-ci, à la manière d’un verre de cristal que l’on ferait chanter avec les doigts. Des vertus thérapeutiques On utilise depuis toujours le chant et le son dans les rituels de guérisons à travers le monde. Tambours, bâtons de pluie, gongs, cymbales… les instruments varient selon leurs utilisateurs, qu’ils soient chamanes, prêtres ou encore moines récitant des mantras. Le son permet une reconnexion à l’instant présent et c’est encore plus vrai avec les bols tibétains. Savoir être à l’écoute du son permet de vivre l’expérience d’une profonde méditation. Une seule séance de soin par les bols tibétains aurait l’effet de plusieurs mois de méditation ! Comment cela est-ce possible ? Ici tout est une question de vibrations. Notre corps est constitué d’eau à 65% en moyenne. C’est cette eau qui va réagir en tout premier aux vibrations des bols qui seront disposés tout autour et sur […] Lire plus
Commentreconnaître un vrai bol tibétain ? Le marché propose actuellement une riche variété de bols chantants. Mais il faut savoir identifier le vrai si vous voulez profiter de ses bienfaits.
Comment choisir un bol Tibétain ? – Les bols chantants Tibétains apportent une touche musicale zen dans votre vie. Les sons et les vibrations qu’ils dégagent, peuvent vous soutenir dans toutes sortes d’activités spirituelles méditation, yoga, musicothérapie, vibrothérapie, massage bol tibétain…. Les bols se présentent sous différentes formes et tailles, ce qui peut rendre le choix difficile. Nous vous aiderons donc à comment choisir un bol tibétain chantant qui vous correspond, comprenant un maillet et un coussin! Qu’est ce qu’un bol Tibétain ? Peut-être que vous les avez entendus dans un cours de yoga accompagnés d’encens ou que vous les connaissez grâce à des massages thérapeutiques de guérisons aux bols chantant. Les bols chantants ou bols tibétains sont une forme spéciale de cloche inversée sans clapet qui résonne grâce à un maillet en bois le plus souvent. Origine du bol chantant Utilisés à l’origine comme instrument traditionnel par les écoles bouddhistes mahayana et tantrique lors des rituels. On les trouve principalement dans les régions himalayennes Tibet, Népal, Bhoutan, Ladakh… et dans le nord de l’Inde, mais leur utilisation est très répandue dans de nombreuses régions d’influence bouddhiste. Les utilisateurs les plus connus étant les moines Tibétains. C’est un instrument de musique zen qui apporte sérénité, énergie vitale, purification et lâcher-prise sur le corps et l’esprit. Utilisé notamment en thérapie, méditation et yoga. Ses bienfaits se rapproche de ceux d’un gong, de cymbales, de kalimba ou encore tongue drum. Bol Tibétain bienfaits Tout comme avec un instrument de musique qui peut se désaccorder après utilisation, notre corps peut également se désaccorder de cette “harmonie vibratoire” et éventuellement développer une maladie. Le stress et la négativité créent des blocages qui peuvent perturber un flux d’énergie sain dans le corps. Cela apparaîtra d’abord dans le champ énergétique autour de notre corps sous la forme de petites perturbations énergétiques, qui peuvent ensuite se transformer en maladie dans notre corps physique. Le son , les vibrations et les fréquences peuvent être utilisés pour nous “réaccorder” à la santé et l’une des modalités les plus puissantes pour cela est l’utilisation d’un bol chantant thérapeutique. Une fois que vous êtes fan des vibrations relaxantes, vous voulez souvent en acheter un vous-même. Mais comment choisir un bol Tibétain ? Grand, petit, épais, fin, fait main ou pas…? Déterminez dans quel but vous souhaitez utilisez le bol chantant Avant d’examiner les différents types de bols disponibles, il est utile d’avoir un objectif clair. Voulez-vous l’utiliser comme réveil pendant les méditations ou préférez-vous créer un bain sonore apaisant? Les sons plus bas sont souvent utilisés dans les séances de relaxation, tandis que les sons plus élevés donneraient de l’énergie. C’est pourquoi il existe également des bols spéciaux pour les chakras, destinées à avoir un effet sur l’énergie. Il est aussi important de savoir si vous devez être en mesure de déplacer le bol ou pas. En effet les bols pratiques sont faciles à emmener à un cours de yoga ou à un concert, tandis que les bols gigantesques peuvent avoir besoin d’un endroit spécial. Alors, où et quand vous jouez est un critère à prendre en compte ! Types de bols chantants et matériaux Lorsque vous recherchez un instrument de musique zen, vous pouvez choisir parmi des bols chantants martelés à la main de façon artisanale, usinés et en cristal. Bols chantants martelés à la main Ces bols chantants tibétains classiques sont les plus populaires. Ils sont basés sur des instruments qui ont été utilisés pendant des siècles lors d’occasions religieuses dans l’Himalaya bouddhiste. Souvent composés de 7 métaux, symbolisant les 7 chakras. Vous trouverez également ces authentiques bols chantant en Chine et au Japon. Les bols martelées à la main sont constituées d’un alliage de sept métaux précieux. Cela donne à chaque gamme un son unique qui contient de nombreux tons différents. Certains utilisateurs ne jurent que par un bol chantant martelé à la main, car il sonne plus chaud qu’une machine. Bols chantants à la machine Les bols de machine sont souvent en laiton ou en aluminium. Ils sont quasiment identiques à des bols faits à la main, sauf que la surface est plus uniforme, moins artisanale. L’avantage de la production en usine est que vous pouvez régler les échelles à une certaine fréquence. De cette façon, chaque gamme sonne de la même manière en principe et est harmonisée. Bols chantants de chakra par exemple, sont souvent usinés de manière à avoir exactement le nombre de Hz du chakra prévu. Bols chantants en cristal Les bols chantants en cristal sont faits de sable de quartz. Celui-ci est chauffé et versé dans des moules spéciaux. Le fabricant découpe ensuite le cristal dans une clé spéciale. Ces bols sont donc chauffés à la machine et fabriqués à la main! La tonalité d’un bol de cristal correspond souvent à celle de l’un des sept chakras. Dans l’ordre de la queue à la couronne, il s’agit généralement de C, D, E, F, GA et B. Les différents sons et vibrations Vous ne savez vraiment à quoi ressemble une telle tonalité que lorsque vous la frappez. Pourtant, vous pouvez déjà en déduire beaucoup de la taille et de l’épaisseur d’un bol Tibétain. Cela fait une différence! Taille du bol Chantant Tibétain Les bols chantants sont disponibles en différentes tailles, de 10 cm de diamètre à un demi-mètre ou plus. On pourrait penser que plus la taille est grande, plus le son est bas. Effectivement c’est souvent vrai, un bol de 12 cm sonne plus haut qu’une variante de 44 cm. Sachez que deux bols martelées à la main de même diamètre peuvent encore différer considérablement en hauteur. Cela reste des produits artisanaux donc jamais identiques ! Épaisseur du bol Tibétain L’épaisseur de la paroi influence le développement du son après avoir frappé le bol. Le degré auquel un ton s’accumule et persiste est appelé la réponse» du bol chantant. Les bols chantants à paroi mince répondent généralement plus rapidement que les bols à parois épaisses. Cela signifie que le son d’une fine coque s’accumule et disparaît plus rapidement. Avec une paroi plus épaisse, le son est donc moins audible, mais il s’estompe aussi plus lentement. Importance des symboles spirituels Les bols chantants Tibétain sont généralement décorés de symboles bouddhistes importants. Rappelant souvent Bouddha ou encore des mantras bouddhistes tels que Om Mani Padme Hum. Il existe également des variantes avec des symboles spirituels tels que par exemples Fleur de Vie, Arbre de Vie, Fleur de LotusMantra Ces décorations ne sont pas seulement belles, mais selon les fabricants donnent également un sens supplémentaire à l’utilisation. Par exemple, le Bouddha de la médecine» est destiné à un effet curatif et le bol chantant Saraswati» stimule votre créativité. Alors lisez attentivement et choisissez un bol chantant avec l’effet que vous recherchez. Comment se servir d’un bol Tibétain ? Il existe deux techniques de base pour jouer un bol chantant, à savoir les tapotements et les caresses le long des parois du bol. Battre votre bol chantant La façon la plus simple d’obtenir du son de votre bol Tibétain est de le taper avec un maillet en bois. Vous frappez le bol sonore avec un autre type de marteau et vous attendez que le son disparaisse. Cette technique nécessite un minimum de pratique et est plus facile à maîtriser. Une bonne technique et la force du coup sont importantes pour obtenir une belle vibration sonore. Jouer du bol Tibétain On peut aussi jouer de son bol chantant tibétain en frottant le bois ou le cuir de sa masse sur le bord. Cette technique vous transporte dans un voyage sonore harmonieux. Idéal pour une séance de relaxation. Il faut veiller à ce que le marteau reste en contact permanent avec le métal du bol chantant, que la pression soit constante et que la vitesse de déplacement soit régulière. Après quelques instants, une vibration sort du bol et commence à s’intensifier lorsque vous frottez le bord du bol chantant. Un peu plus d’entrainement est nécessaire pour jouer du bol chantant avec les caresses mais cette pratique créée un son persistant et relaxant. C’est ce qu’on appelle faire chanter un bol Tibétain, d’où le nom de “Singing Bowls”. Bol Chantant avec eau Remplissez le fond du bol avec quelques centimètres d’eau et laissez le bol chanter en le frottant. Lorsque la vibration de votre bol chantant tibétain s’élève, en plus du son, on observe divers phénomènes vibratoires qui touchent l’eau du bol chantant. Comment choisir un maillet et un coussin à bol Tibétain ? Lorsque vous avez trouvé le bol parfait, vous êtes prêt pour les accessoires. Un coussin n’est pas forcément nécessaire à l’utilisation, vous pouvez également tenir le bol dans votre main ou utiliser un tapis que vous avez déjà. Par contre un instrument à percussion est bien sûr indispensable ! Essayez de frapper un bol avec vos mains, sans bâton ou mailloche. Si vous voulez être sûr que votre bol, votre cousin et votre maillet correspondent ? Alors choisissez un pack complet de bol chantant. Choisir un maillet pour bol Tibétain Le plus souvent les maillets, sticks ou batteurs des bols chantants Tibétain sont en bois ou cuir. Assurez-vous de commander un maillet de la bonne taille, au moins aussi long que le diamètre de votre bol. Avec un batteur trop grand ou trop petit, vous ne tirerez pas le meilleur parti de votre bol chantant. Choisir un coussin bol Tibétain Il existe différent coussin pour placer votre bol fermement. Ceux-ci sont disponibles en forme carrée, en anneau ou en disque. Par exemple, ils ont des broderies bouddhistes ou des symboles de chakra, mais sont également disponibles dans des couleurs unies. Faites également attention au format, un coussin de 10 cm ne fournira pas beaucoup de support pour un bol chantant d’un demi-mètre de diamètre. Conclusion sur comment choisir un bol Tibétain Après avoir lu cet article, vous en saurez un peu plus sur les bols Tibétains et comment les choisir. Ils en existent énormément, nous vous proposons une sélection de nos bols chantants pour faire entrer la zénitude chez vous. 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La thérapie sonore et les soins énergétiques des bols tibétains demeurent encore peu connus par les uns et avec une certaine réticence pour d’autres. Depuis des milliers d’année, la guérison par les instruments sonores fraie son chemin, surement, grâce aux bienfaits qu’elle apporte. Reconnue par les sociétés scientifiques de soins naturels, la guérison sous l’effet des vibrations sonores se répand de plus en plus. Les bols chantants tibétains sont utilisés en sonotherapie, méditation, tout type de yoga et lors des massages sonores. Une pratique qui perpétue des techniques de spiritualité et de soins utilisée depuis longtemps au Tibet, Népal, Inde et Chine. Caractéristiques d’un bol chantant tibétain Les bols chantant tibétains émettent une grande variété de résonances. C’est un des instruments sonores où les vibrations sont bien perçues par le corps. Il suffit de se mettre prés du bol chantant en résonance ou de le déposer sur une partie du corps, un phénomène unique et extraordinaire est ressenti. Le secret des effets énergétiques et thérapeutiques du bol chantant tibétain réside dans sa composition de sept métaux. Chaque métal représente un astre et en rapport directe avec les 7 Chakras. Les sonorités émises dues à la composition en différents teneurs de métaux agissent directement sur un ou des organes pour les guérir. Le bol tibétain contient de l’or Soleil, de l’argent Lune en faibles concentrations. Et à une teneur plus élevée, du plomb Saturne, du fer Mars, du cuivre Venus, de l’étain Jupiter et du mercure Mercure. Le bol chantant tibétain dégage des ondes sonores sous l’effet de son maillet ou son bâton qu’on utilise par friction ou frappes sur ses rebords. Guérir avec le bol chantant tibétain…origines La guérison par les sons et les chants est une discipline qui date de la nuit des temps. Âge de bronze, âge des métaux, 2000 ans Av-J-C …Ce qui est sur que la guérison par les sons est efficace et elle est pratiquée jusqu’à nos jours. La thérapie par les bols chantants a été pratiquée par les chamans tibétains. Outre la communication et la communion avec la nature, le chamanisme c’est aussi des rituels de guérison par les vibrations sonores. Les ondes propagées lors des chants des bols tibétains guérissent le corps l’âme et l’esprit. Mécanisme d’action des bols tibétains Les ondes propagées par friction ou battement du bol chantant tibétain pénètrent tout le corps. Elles agissent au niveau des cellules. Le corps est composé d’environ 75 % d’eau. L’agitation des molécules d’eau sous l’effet des vibrations sonores purifient les cellules des toxines et équilibrent les fonctions métaboliques de tous les organes. Les fréquences émises par des bols tibétains nous mettent dans un état proche de l’hypnotise. Grâce à ses sons le cerveau passe de l’état beta à l’état alpha. Les ondes beta supérieures ou égales à 14Hz mettent le cerceau en état d’éveil et d’activités. Sous l’effet des ondes alpha 8 à 13 Hz le cerceau est en état d’éveil calme et on sent une légère relaxation. Pour les expérimentés en méditation, un bain de chant de bol tibétain permet d’atteindre un état de relaxation profonde, toute une béatitude est ressentie. C’est lorsque le bol chantant tibétain vibre en fréquences thêta 4 à 7 Hz. Comment se déroule la thérapie par les bols tibétains D’abord, le résultat de la thérapie par les sons dépend de vous. Vous devez vous concentrer sur les sons et faire le vide pour bien absorber les ondes sonores du bol chantant tibétain. Allongé sur le dos, bien relâché, le thérapeute dépose différents bols chantants autour de vous ou sur votre poitrine, ventre, bassin et pieds. Chaque positionnement est bien étudié selon le bol utilisé. Il va ensuite faire chanter les bols par frottement ou légers battements des bords par maillets. Chaque diamètre du bol et chaque mouvement pour faire chanter le bol tibétains va émettre des fréquences précises. A noter que les métaux qui composent le bol agissent différemment. Les sons d’un bol 7 métaux va résonner différemment que celui de 10 métaux ou 5 métaux. Seules les sonotherapeutes savent quel bol chantant utiliser et pour quel mal, qu’il soit physique ou mental. Autre technique de soin naturel par le bol chantant tibétain, c’est de la faire résonner en le tenant dans la main afin de faire propager les vibrations dans tout le corps. Pour accompagner vos séances de yoga ou de médiation, prenez position, déposez le bol prés vous et faites le chanter. Une harmonie et un tout un bien-être sont vite ressentis. Que guérir avec les chants du bol tibétain ? Les massages internes par les ondes sonores des bols chantants tibétains touchent tous les organes. Le corps et l’âme se purifient et on retrouve la bonne santé. La guérison par les sons est une discipline de médecine traditionnelle reconnue par les sciences. Elle aide à soulager plusieurs maux mais son effet reste parfois limité. La sonotherapie aide à bien se sentir dans son corps et son esprit comme la méditation et la pratique des activités physiques. La guérison par les chants les instruments sonores et en particulier le bol chantant tibétain été prouvée scientifiquement pour Lutter contre les insomnies Lutter contre le stress et l’anxiété Soigner les migraines et maux de tête Traiter les douleurs musculaires Traiter les douleurs articulaires et rhumatismales Soigner les spasmes du tube digestif Renforcer le système immunitaire Où trouver des bols tibétains de qualité Un bol chantant tibétain de qualité est un instrument qui va émettre des chants à des fréquences thérapeutiques. Il existe bien des imitations mais qui ne servent qu’à la décoration. Pour choisir un bol chantant original il faut voir sa teneur en métaux, son âge, son pays d’origine et surtout demander un certificat d’authentification lors de votre achat. Que ce soit dans des boutiques en vente directe ou en ligne, votre choix va dépendre de son usage, de ses dimensions et de votre budget. Une visite dans les magasins en ligne vous permet de trouver des bols chantants tibétains pas chers, et de qualité. 183
Commentpratiquer la méditation avec un bol tibétain ? Pratiquer la méditation avec un bon tibétain commence avec la capacité de faire chanter ce dernier. Pour ce faire, rien de plus simple, car il suffit de le frotter ou de le frapper avec délicatesse avec un maillet. C’est un bâton de bois qui peut être recouvert ou non de cuir.
Comme vous le savez, depuis quelques semaines, j'ai décidé de partager avec vous un petit parcours de découverte des pierres naturelles. Après vous avoir présenté l'Oeil de Tigre, l'Obsidienne, la Turquoise et le Grenat , je vous invite aujourd'hui à découvrir l'Agate. Comme à mon habitude, je vais aborder différents points afin de vous permettre de savoir comment reconnaître cette pierre d'harmonie et de stabilité, qui fortement reliée à la terre, apporte équilibre et chance dans votre foyer. À travers ce nouvel article, je fais donc un petit point sur son histoire, ses caractéristiques minéralogiques, les différents types d'agates, ses vertus et bienfaits... C'est aussi l'occasion pour moi de vous faire découvrir quelques-uns de nos jolis produits artisanaux d'Asie. Bonne lecture ! _______________ Origine et Histoire Cette pierre naturelle qui existe en de nombreuses couleurs, est présente dans de nombreuses régions du monde depuis plusieurs centaines d'années. Comme nous allons le voir, elle fut utilisée dès la Haute Antiquité période marquée par l'invention de l'écriture, environ 3500 ans avant JC et jusqu'à -600 environ. Sa découverte C'est un philosophe de la Grèce antique, Théophraste, qui lui donna son nom. À cette époque, le nom n'a pas été choisi au hasard, puisqu'il s'agit tout simplement d'une déclinaison très proche du nom du fleuve où l'on pouvait trouver l'Agate en abondance Akhatês. Ce fleuve se trouvait au sud de la Sicile. Chez les Hébreux Mésopotamiens et Egyptiens appréciaient beaucoup l'Agate, à la fois pour ses vertus, mais également pour la beauté de cette pierre. Ils s'en servaient notamment pour la création de bijoux et d'objets de décoration, comme des vases par exemple. Chez les Celtes L'Agate était rattachée à la déesse galloise de la mort de la fertilité Ceridwen. Les principaux gisements C'est une pierre sui prend naissance dans les régions volcaniques situées dans différents pays du monde. On peut retrouver des gisements dans beaucoup de pays comme par exemple, l'Allemagne, la Russie, l'Australie, l'Inde, le Maroc, les États-Unis... En voyageant, il n'est pas très difficile de découvrir un peu partout différentes variétés d'Agate. Aujourd'hui la majorité des gisements encore exploités sont surtout situés dans le sud du Brésil et en Uruguay. _______________ Caractéristiques minéralogiques Bracelet Mala LYS en Agate Noire et Symbole OM L'Agate appartient à la famille des nous l'avons vu précédemment, c'est une pierre qui se forme via les laves volcaniques, elle est donc principalement constituée de Silice. Elle peut-être transparente ou translucide et son éclat est plutôt vitreux. Sur l'échelle de Mohs, sa dureté est comprise entre 6,5 à 7 et sa densité varient sensiblement de 2,58 à 2,64. _______________ Les couleurs et les différents types d'Agate C'est une pierre qui compte de nombreuses déclinaisons de couleurs. Pour les couleurs les plus vives, ce sont bien souvent des agates ayant subi une action chimique, par technique de trempage. Vous pourrez en effet trouver des agates naturelles grises ou bleues, avec des tons dégradés. Mais aussi d'autres variétés que l'on peut rencontrer très souvent. Pour n'en citer que quelques-unes L'agate noire pierre de protection, elle vous aide à trouver le courage et vous donne la force de relever de nouveaux challenges. L'agate bleue elle apporte un effet apaisant et déstressant à son porteur. Elle calme les tensions. L'agate verte celle-ci agit davantage sur la santé des yeux. L'agate rouge elle apporte paix et calme, on la retrouve également sous le nom d'Agate de Sang. Et bien d'autres comme l'agate rubanée, l'agate arbre, l'agate mousse, l'agate indienne... _______________ Vertus et bienfaits de l'Agate en lithothérapie L'Agateest une pierre que l'on retrouve très souvent sous forme d'objets de décoration ou de bijoux. Elle est capable d'agir à plusieurs niveaux sur le plan émotionnel, spirituel et physique, afin d'éviter tout blocage énergétique. Sur le plan émotionnel Apporte plus de confiance en soi et de courage ; Aide à mieux gérer les excès de colère ; Élimine les blocages énergétiques ; Harmonise le yin et le yang ; Très efficace sur tous les types de traumatismes émotionnels. Sur le plan spirituel Favorise la concentration ; Aide à une meilleure compréhension de son environnement ; Améliore l'intuition, la clairvoyance ; Stabilise l'aura, l'énergie du corps physique. Au niveau de la santé Facilite la digestion ; Calme les angoisses et le stress ; Agit contre les maux de tête, les douleurs de dos et les crampes et courbatures ; Renforce les organes internes poumons, estomac, foie. _______________ Comment nettoyer et recharger mon Agate ? Comme tous les minéraux, c'est une pierre qui nécessite d'être nettoyée et rechargée afin de conserver toutes ses propriétés. Pour nettoyer votre Agate vous pouvez utiliser de l'eau distillée salée, puis l'exposer à la lumière lunaire, si possible. Pour la recharger, il vous suffit de poser votre pierre sur un tapis de Quartz ou d'Améthyste. _______________ Pour aller un peu plus loin... Les signes astrologiques Collier Mala sur Mesure en Pierre d'Agate Verte, Argent et Cristal Selon sa couleur, l'agate peut être rattachée à différents signes astrologiques. Seul le signe de la Balance peut s'autoriser de porter toutes les couleurs d'Agate. Voici un petit aperçu des signes associés en fonction de la couleur de la pierre choisie Agate verte taureau et verseau ; Agate rouge scorpion ; Agate jaune lion ; Agate bleue poissons ; En astrologie chinoise, les agates vertes et bleues font partie des 12 pierres de l'amour qui sont censées apporter une vie sentimentale épanouie à leur porteur. Agate et Chakras associés Pierres Naturelles 7 Chakras Comme pour l'astrologie, tout va dépendre de la couleur de la pierre. Il est conseillé tout simplement d'opter pour la couleur de pierre qui est reliée à la couleur du Chakra. Pour plus d'informations à ce sujet et si vous n'avez pas encore eu l'occasion de le faire, je vous invite à lire cet article Quels sont les 7 Chakras et pourquoi les équilibrer ? _______________ Cet article consacré à l'Agate est maintenant terminé, j'espère que vous avez apprécié la lecture ! N'hésitez pas à me laisser un petit commentaire pour me dire quels sont les prochains sujets d'articles que vous aimeriez découvrir c'est toujours un plaisir de répondre à vos demandes ! Je vous retrouve mardi prochain pour un article, qui traitera cette fois des Chakras. Bonne semaine à vous et à très vite ! Les commentaires sont approuvés avant leur publication.
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comment reconnaître un vrai bol tibétain