Toutesles informations sur Il était une fois en Amérique, film réalisé par Sergio Leone avec Robert De Niro et James Woods sorti en 1984. Synopsis : Il Film de gangsters muté en songerie opiacée et proustienne, le plus beau film du monde, restauré et augmenté de scènes inédites. Faut-il rappeler que cet ultime Leone est le plus beau film du monde ? Faut-il redire les boucles du temps proustiennes, l’amitié violente entre Noodles et Max, l’amour malade entre Noodles et Deborah, la comparaison entre l’opium et la cinéphilie, la partition sublime de Morricone, les splendides enchaînements du montage, le New York recréé à Montréal, à Paris, à Venise… et à New York, le parallélisme entre Noodles qui délire sa vie et Leone qui rêve le cinéma américain dans sa version mélancolique d’ancien enfant ? Oui, pour ceux qui ne l’ont jamais vu. Quant à ceux qui ont déjà fait la visite dans la tête de Leone-Noodles, ils n’en sont toujours pas revenus. Ce masterpiece ressort en salle en copie numérique restaurée par la Cineteca di Bologna et… roulez tambours, sonnez hautbois, résonnez musettes… ajoutde huit scènes inédites ! Déroulons le fil de ces vingt-deux minutes nouvelles par le menu, avec une remarque préliminaire retrouvées sur des bobines positives altérées par le temps, ces scènes sont étalonnées en dominante vert-bleu qui tranche avec les couleurs chaudes du film et leur confère un aspect exogène. Scène 1. Le vieux Noodles De Niro, grimé vient de découvrir le caveau luxueux où reposent ses amis. A la sortie, il rencontre la directrice du cimetière jouée par l’inquiétante Louise Fletcher et lui pose des questions sur l’inconnu portant son nom David “Noodles” Aaronson, propriétaire du caveau. Au cours de cette conversation, Noodles se pense suivi par une limousine noire dont il note le numéro d’immatriculation. La scène surligne ce que l’on pressentait sans elle Noodles est dans le viseur des mystérieux commanditaires qui l’ont fait revenir à New York trente-cinq ans après ses années gangster. Scène 2. La bande de Max et Noodles, jeunes adultes, foncent en voiture dans la mer. Tandis que les autres émergent en rigolant, Noodles ne réapparaît pas. Inquiétude. La scène fait écho avec celle où, adolescents, ils étaient tombés à l’eau en repêchant les caisses de marchandise de leur premier gros coup là, c’était Max qui tardait à refaire surface. Scène 3. Noodles, alors sexagénaire, fait une première incursion devant le portail de la propriété retrouvée grâce au numéro d’immatriculation de la limo aperçue au cimetière, laquelle apparaît dans la rue… et explose. Noodles et le spectateur ne savent pas encore qu’elle est celle de Max/Bailey. Le duel métaphysique entre Noodles et Max se précise mais le jeu de piste était déjà lisible dans la version précédente. Scène 4. Noodles discute avec le chauffeur de la limousine qui conduira le jeune homme et Deborah à un dîner romantique dont l’issue sera le viol de la jeune femme. De quoi parlent les deux hommes ? Des nazis qui commencent à massacrer les Juifs en Europe on est en 1933, de l’incompatibilité entre l’éthique juive et le gangstérisme… Dialogue qui confirme ce que j’ai toujours pensé de ce film sans en être absolument certain Il était une fois en Amérique évoque de façon allusive la Shoah et la disparition du Yiddishland. A noter que le chauffeur est joué par Arnon Milchan, le producteur israélo-américain du film. Scène 5. Deborah boit un verre au buffet Belle Epoque de Grand Central en réalité notre gare du Nord avant de prendre son train pour Hollywood et de quitter Noodles. Scène 6. Déprimé par sa rupture avec Deborah, complètement ivre, Noodles rencontre Eve dans un bar où elle tapine. Il la fait monter dans sa chambre, lui glisse un gros billet et lui demande de le laisser l’appeler Deborah. Elle accepte avec le sourire mais malgré cela, Noodles ne parvient pas à bander. Quand il se réveille, elle est déjà partie mais lui a laissé un mot “La prochaine fois, j’espère moins d’argent et plus de travail.” Très belle séquence, illuminée par la superbe Darlanne Fluegel, la quatrième et trop peu louée grande actrice de ce film. Scène 7. Bientôt les retrouvailles entre Deborah et Noodles, mais leur histoire est sans retour. Pour l’heure, sur scène, Deborah joue le rôle de Cléopâtre. L’intérêt est de la voir exercer son métier d’actrice, avec une sorte de masque mortuaire, dans un rôle qui fait écho à sa situation de femme vieillissante, affectivement “déjà morte”. Scène 8. Avant son showdown anti-climax avec Noodles, Max momifié discute avec son vieux “partenaire”, le syndicaliste O’Donnell, dans son bureau-tombeau. Max est sénateur, englué dans des affaires, cerné par des tueurs. O’Donnell est un leader puissant et corrompu qui conseille à Max de se suicider, avant de lui faire signer un ultime pacte faustien. Aucune de ces scènes inédites ne révolutionne le film. Elles précisent certains contours scénaristiques, parfois inutilement, éclairent un peu plus sa dimension juive, approfondissent le portrait de Noodles, insistent sur les liens entre pouvoir, syndicalisme et mafia. Il était une fois en Amérique avait été massacré par le distributeur américain, Warner, qui avait cru bon de ramener le film de 4 h 25 à 2 h 19, et de replacer toutes les séquences chronologiquement. Un véritable crime artistique. La version connue jusqu’à présent, acceptée par Leone, faisait 3 h 49. Cette version nouvelle menée par les enfants Leone dure 4 h 11 et correspond au vrai désir du cinéaste. Pourtant, ces séquences prouvent par l’absurde que quelques coupes bien ajustées n’ont pas fait de mal au film, voire l’ont amélioré, une ellipse étant parfois préférable à une scène explicite. Mon plaisir étant la petite discussion entre Noodles et son chauffeur ainsi que sa rencontre avec Eve, deux belles scènes, même si elles ne changent pas fondamentalement l’ensemble. Au final, 3 h 49 ou 4 h 11, plus beau film du monde. Critiques Lamoindre de nos certitudes doit constamment être remise en cause, explique Leone avec Il était une fois en Amérique. Constat ironique, car la qualité de ce film, qui révéla la pré
Synopsis Il était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux, puis se recouper en pleine période de prohibition, dans les années vingt. Jusqu'au jour où la trahison les sépare à nouveau.
Unvéritable chef-d’œuvre. Avec Il était une fois en Amérique (1984), le cinéaste conte les destins tragiques de deux gosses du quartier juif de New York au début des années 1900. À découvrir Sergio Leone, 1984 LE COMMENTAIRE Personne ne touche jamais au grisbi cf Les tontons flingueurs. Pas de ligne d’arrivée. Juste des étapes. Les récompenses se transforment en avances sur honoraires. L’appétit de plus cf There will be blood. Jamais assez. À l’infini. Ce qui ressemble à une épilogue n’est finalement rien d’autre qu’un prologue. LE PITCH Un gangster revient sur les lieux du crime. LE RÉSUMÉ David Noodles » Aaronson Robert de Niro revient à New York, des années après avoir du fuir à Buffalo. Des années après la mort de ses amis Patrick Goldberg James Hayden, Philippe Stein William Forsythe et Maximilian Bercovicz James Woods qu’il avait dénoncés à la police – sur les conseils de Carol Tuesday Weld. If you were all in jail first, there wouldn’t be any bank job. Noodles revient après avoir reçu une mystérieuse note de la part d’un rabbin, l’informant que les tombent de ses amis allaient être déplacées au cimetière de Riverdale. Quelqu’un sait visiblement qu’il se cache. Where’s he hiding? De retour dans le lower East Side, chez Fat Moe Larry Rapp, David se refait l’histoire Les grands débuts dans les années 20. Quand il regardait Deborah Jennifer Connelly à travers un oeilleton, celle qui serait la femme de sa vie. Les premières petites arnaques pour Bugsy James Russo. L’ambition. Les plus grosses arnaques pour Al Capuano Clem Caserta. Le butin planqué dans un casier de consigne à la gare. Jusqu’à la mort de Dominic Noah Moazezi, abattu par Bugsy. Noodles se venge et écope d’une peine de prison, sans passer par la case départ cf Bad Boys. À sa sortie, douze ans plus tard, il retrouve ses amis. C’est reparti pour les braquages et la contrebande d’alcool. C’est à Detroit qu’il fait la rencontre de Carol pour la première fois, en la violant malgré l’ordre de Joe Burt Young. Tout comme il viole Deborah dans une limousine cf Irreversible, Comme si de rien n’était, après qu’elle l’informe de sa décision de vouloir poursuivre sa carrière en Californie. I’m leaving tomorrow to go to Hollywood. Puis vint la fin de la prohibition, avec l’obligation pour ces gangsters de trouver de nouveaux relais de croissance. Max a l’ambition de braquer la réserve fédérale. Noodles le dénonce pour éviter de plus gros ennuis. L’arrestation se passe mal, les trois compères sont abattus. Les années ont passé. Noodles retrouve la trace de Deborah, désormais compagne du sénateur Bailey, qui n’est autre que… Max. Max a profité de ses liens avec la police corrompue pour échapper au règlement de compte, et changer d’identité. Homme politique puissant mais menacé, ses jours sont maintenant comptés. Il demande à son ami de finir le travail. Noodles refuse, tout en lui souhaitant le meilleur. I hope the investigation turns out to be nothing. It’d be a shame to see a lifetime of work go to waste. Noodles quitte la propriété à côté de laquelle se trouve stationné un camion ordures. Max sort à son tour et se fait happer par la broyeuse, à mesure que le camion s’en va au loin. Ses phares se confondent avec ceux d’une voiture ancienne à bord de laquelle des fêtards boivent du vin pétillant sur l’air de God Bless America. Noodles se rappelle du quartier Chinois. Là où tous les ennuis s’évaporaient dans un nuage d’opium, avec un sourire. L’EXPLICATION Il était une fois en Amérique, c’est le rêve américain. Joe Dassin n’avait dans les yeux que l’Amérique. Pourquoi ? À cause du fameux rêve américain. La promesse que n’importe qui puisse y prospérer de par son travail, son courage et sa détermination cf Minari. Les petites qui peuvent devenir grandes cf Rocky. Mener la grande vie. Living the life. C’est à dire, affirmer ses ambitions sans passer pour un arriviste – comme Noodles et ses copains qui comprennent très vite qu’ils peuvent être leurs propres patrons. Ils prennent le blé où il est, selon l’expression consacrée. Take the money and run. Réussi évidemment. Accumuler du capital. Mais pas que. Le rêve américain, c’est aussi se faire des amis. Une aventure humaine qui n’est pas qu’une histoire de gros sous. Noodles ne serait rien sans ses acolytes Pat, Phil et Max. Les trois mousquetaires avec lesquels il va faire les 400 coups. En Amérique, on vit de grandes histoires d’amour comme celle entre Noodles et Deborah cf Love Story. L’amour au premier regard, qui trompe les années cf Interstellar. Le coeur qui bat. Les belles formules. I’d think, Deborah lives. She’s out there. She exists. » And that would get me through it all. Bon, Noodles viole la femme de sa vie… Parce que la prison ne lui a malheureusement pas que rendu service. Il n’y a pas appris les bonnes manières. Noodle ne sait pas réagir à quelque chose qui lui déplaît autrement que par la violence cf A History of Violence. C’est malheureux – et ce n’est surtout pas une excuse. Preuve qu’en Amérique, on fait aussi des bêtises. Ups and downs. Beaucoup de bêtises, en vérité. Crimes, vols, mensonge, trahison… Who you protecting, you dumb asshole? A stoolie who rats on his own friends? They were your friends too! Il est certain qu’on ne voit pas le temps passer quand on s’amuse. À la fin, de cette vie il ne reste que des souvenirs parfois un peu flous. Au point que lors du dénouement, on a parfois du mal à recoller les morceaux. Quelle est cette note énigmatique du rabbin ? Comment argent a-t-il pu disparaitre ? Difficile d’y comprendre quelque chose. Why? It’s the one thing it didn’t say. Qu’est-il arrivé à Max ? A-t-il été assassiné ou s’est il suicidé ? Personne n’a le temps d’apporter de réponse qu’une voiture arrive déjà en sens inverse pour faire la fête. The show must go on cf Bohemian Rhapsody. C’est le mystère de la vie. Voilà pourquoi on préfère parler de rêve américain. L’histoire est plus belle encore si l’on se dit que tout cela n’était qu’un rêve cf Inception. To keep from going crazy, you have to cut yourself off from the outside world, just not think about it. Yet there were years that went by. It seemed like no time at all, because you’re not doing anything. À la réflexion, mieux vaut qu’il s’agisse d’une illusion. Et que tout s’arrête confortablement dans une fumerie d’opium plutôt que dans une benne à ordures. Parce qu’en Amérique, le cauchemar n’est pas remboursé. LE TRAILER Cette explication de film n’engage que son auteur. AchetezIl était Une Fois en Amérique- Affiche de Film Originale (ressortie) - 40x60 cm - Pliée de Original Movie Poster sur gratuite dès 25€ Continuer sans accepter. Choisir vos préférences en matière de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour améliorer vos L’enfance et la maturité d’un gangster dans une fresque déconstruite. Le chef-d’oeuvre ultime de Sergio Leone. Voici – précédant de peu une version plus longue de quarante minutes, annoncée pour 2012 – le retour sur grand écran d’un des sommets du cinéma des années 80, l’ultime film de Sergio Leone, ce cinéaste qui réinventa le cinéma américain. Mais Il était une fois en Amérique est l’objet d’un culte cinéphile un brin fétichiste – il fut charcuté par ses producteurs à sa sortie aux Etats-Unis et connut un échec commercial sanglant – qui cache souvent sa vraie nature. Il s’agit a priori d’un film de pègre et à gros budget, tourné un peu partout sur le globe, dont Venise et Paris. Le film, tiré librement d’un livre autobiographique écrit en prison par un malfrat nommé Harry Grey, raconte, depuis l’enfance, la vie d’une bande de petits délinquants juifs de Brooklyn au début du XXe siècle, leur montée dans la hiérarchie du crime sous la Prohibition, puis leur chute brutale, entraînée par une trahison dont on saura plus tard qu’elle n’était pas le fait de celui qu’on croyait. C’est un film sur l’amitié masculine, son ambiguïté intrinsèque, sa part de traîtrise inhérente. Entre le héros du film, Noodles Robert De Niro, et Max James Woods, la jalousie, l’ambition, la cruauté, peut-être aussi une attirance sexuelle cachée ou latente, se mélangent pour produire un cocktail sournois. L’un gâchera sa vie pour se rédimer, l’autre la réussira par l’ignominie. La vision que porte Leone sur l’humanité est très noire. On peut en dire autant de sa vision de l’amour viril celui qui depuis l’enfance lie et délie Noodles et Deborah les sublimes Jennifer Connelly et Elizabeth McGovern, qui deviendra une star. Mais Noodles, dans un accès de passion, la viole dans un taxi. Et le film, souvent ultraviolent, d’une trivialité très italienne, semble se désoler lui-même, avec l’aide de la musique déchirante d’Ennio Morricone, du désespoir qu’il exprime. Mais il y a plus l’architecture du film. Il était une fois d’Amérique obéit à une construction à la fois habile on n’y voit que du feu et très sophistiquée, brouillant la chronologie pour donner son sens au récit, qui vogue d’époque en époque pour dessiner un territoire mental où tout se brouille, l’imaginaire et le réel, sans qu’on sache bien, au final, ce qui relevait de l’un ou de l’autre. Et peu à peu, de cette tentative éclatée de raconter une vie, dans ses faux-semblants et ses vérités, naît un hommage nostalgique et énamouré d’un Italien pour le grand cinéma, cet art qui permet aux hommes de vivre hors du temps dans un monde vu, pensé, fantasmé, déformé par le cerveau d’un autre. Un vrai chef-d’œuvre. Critiques
Dune justesse d'écriture, "Il était une fois en Amérique" revient sur le destin de Noodle à travers sa jeunesse où il était avec une bande de gamin
Abonnez-vous 21h05 dimanche 06 mars Il était une fois en Amérique7777 Drame de Sergio Leone 1984 Avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovern, Joe Pesci, Burt Young, Treat Williams, Danny Aiello, Tuesday Weld, Richard Bright, James Hayden, William Forsythe, Darlanne Fluegel, Larry Rapp, Richard Foronjy, Robert Harper, Dutch Miller, Gerard Murphy, Amy Ryder, Olga Karlatos, Mario Brega, Ray Dittrich, Frank Gio, Karen Shallo, Angelo Florio, Scott Schutzman Tiler, Rusty Jacobs, Brian Bloom, Adrian Curran, Mike Monetti, Noah Moazezi, James Russo, Frankie Caserta, Joey Marzella, Clem Caserta, Frank Sisto, Jerry Strivelli, Julie Cohen, Marvin Scott, Mike Gendel, Paul Herman Pays de production Etats-Unis - Italie Durée 3h40mn / Résumé De 1920 à 1968, aux États-Unis. La destinée d'un gangster, sa jeunesse délinquante dans le quartier juif de New York, son séjour en prison après le meurtre d'un rival, son ascension fulgurante pendant la Prohibition, son amour impossible pour une femme, et les circonstances qui le poussèrent à trahir ses complices. Si vous avez manqué le début New York, décembre 1933. Trois tueurs à la solde du syndicat du crime recherchent activement Nathan Aaronson, dit Noodles. Ils ont pour mission de lui faire payer la trahison qui vient de coûter la vie à Max, Patsy et Cockeye, ses complices et anciens compagnons de jeunesse. N'ayant pu obtenir le moindre renseignement de son épouse Eve, abattue sur-le-champ, les trois hommes s'en prennent ensuite à Fat Moe et le rouent de coups, connaissant les liens étroits que ce patron de bar clandestin entretient avec Noodles. Pour s'épargner des souffrances inutiles, Moe leur indique que Noodles se cache dans une fumerie d'opium. Deux des tueurs s'y rendent tandis que le troisième garde un œil sur Moe. Mais Noodles réussit à leur fausser compagnie et à délivrer Moe après avoir tué son geôlier. Il se rend ensuite à la gare et retire de la consigne une valise qui contient la cagnotte secrète de la bande. Il n'y trouve que de vieux journaux. Il prend alors le premier train en partance et gagne ainsi Buffalo. Trente-cinq années ont passé... Fatigué, vieilli, Noodles revient à New York après avoir reçu un message sibyllin, l'invitant à se rendre sur les tombes de Max, Patsy, et Cockeye. Il y retrouve Moe qui tient un restaurant casher et a reçu la même invitation... Clin d'oeil Sergio Leone offrit à Jennifer Connelly son premier rôle dans l’ultime volet de sa trilogie Il était une fois… À 14 ans, on reconnaît l’actrice de Blood Diamond et Noé dans la première partie du film où elle joue Deborah adolescente. Le casting de Il était une fois en Amérique Sergio Leone Réalisateur Robert De Niro Noodles James Woods Maximilian 'Max' Bercovicz Elizabeth McGovern Deborah Gelly Joe Pesci Frankie Burt Young Joe Treat Williams Jimmy O'Donnell Danny Aiello Police Chief Aiello Tuesday Weld Carol Richard Bright Joe James Hayden Patsy William Forsythe Cockeye Darlanne Fluegel Eve Larry Rapp Fat Moe Richard Foronjy Whitey Robert Harper Sharkey Dutch Miller Van Linden Gerard Murphy Crowning Amy Ryder Peggy Olga Karlatos la femme dans le théâtre de marionnettes Mario Brega Mandy Ray Dittrich Trigger Frank Gio Beefy Karen Shallo Mrs. Aiello Angelo Florio Willie the Ape Scott Schutzman Tiler Young Noodles Rusty Jacobs David / Young Max Brian Bloom Young Patsy Adrian Curran Young Cockeye Mike Monetti Young Fat Moe Noah Moazezi Dominic James Russo Bugsy Frankie Caserta Bugsy's Gang Joey Marzella Bugsy's Gang Clem Caserta Al Capuano Frank Sisto Fred Capuano Jerry Strivelli Johnny Capuano Julie Cohen Young Peggy Marvin Scott Interviewer Mike Gendel Irving Gold Paul Herman Monkey Les bandes-annonces de Il était une fois en Amérique Infos sur le programme Interdit aux moins de 16 ans / Couleur / STEREO / 169 - Sous-titrage Malentendant / HD
Cétait l'époque où en 5 ans, on découvrait au cinéma Apocalypse Now, Voyage au bout de l'enfer, La porte du paradis, Raging Bull, E.T., Manhattan, Le L'affiche du film "Il était une fois en Amérique". Photo DROnce Upon a Time in America Il était une fois en Amérique est sorti sur les écrans en 1984. Ce grand classique du cinéma est le dernier film du réalisateur italien Sergio Leone, maître incontesté du western-spaghetti, ces western à l’italienne tour à tout épiques ou burlesques. Si le nom de Sergio Leone ne vous dit rien, vous avez certainement déjà vu ses films Pour une poignée de dollars et Le Bon, la Brute et le Truand, avec Clint Eastwood, Il était une fois dans l’Ouest, avec Charles Bronson, ou encore Mon nom est personne, avec Terence Hill et Henry Il était une fois en Amérique, Sergio Leone retrace 3 moments clés de l’histoire de New York à travers les yeux de David Aaronson, un juif new-yorkais incarné par Robert de Niro. Le film, d’une durée de 4h11, raconte son enfance au début du 20ème siècle, ses mauvais coups pendant la prohibition avant de remonter le temps jusqu’aux années film dépeint aussi l’histoire d’une amitié d’enfance, entre David, surnommé Noodles nouilles en français et son copain Maximilian Bercovicz, dit Max, incarné par James Woods, qui lui aussi deviendra un gangster. David et Max se perdent de vue et se retrouvent, au fil des péripéties de la petit mot enfin sur la bande originale. Elle a été composée par l’immense Ennio Morricone, auteur de la musique de 8 films de Sergio Leone, dont Il était une fois dans l’Ouest. Voici la bande originale d’Il était une fois en Amérique New York dans Il était une fois en AmériqueMême si vous n’avez pas encore vu Il était une fois en Amérique, vous connaissez certainement son affiche mettant le Manhattan Bridge en vedette. L’image est à elle seule emblématique de l’ambiance de New York. Pour voir l’affiche du film en vrai, rendez-vous dans le quartier de Dumbo, dans Brooklyn, au bord de l’East River. Je vous indique le plan d’accès dans mon article sur l’affiche d’Il était une fois en quartier d’enfance de David se trouve un peu plus au Nord, toujours à Brooklyn, au pied du Williamsburg Bridge. Parcourez la South 6th Street, la rue qui longe le pont en contrebas, et vous voilà dans les pas des jeunes David et Max ! L’appartement de David se trouve au n°105 de South 8th Street tandis que Max vit au numéro 126 de cette même lieu emblématique du film South Street, dans Manhattan. C’est là que David revient se promener le long de l’East River à l’âge adulte. Brooklyn et son enfance sont en face…En revanche, ne cherchez pas le Long Island Restaurant, où David emmène Deborah, sa petite amie. Sergio Leone a tourné cette scène à… Venise, dans l’Hôtel Excelsior, sur le Lido. La scène de l’incendie du kiosque à journaux a quant à elle été réalisée à Montréal, devant le 449 rue Saint-Pierre. Tout aussi surprenant lorsque Deborah quitte New York pour Hollywood, elle prend le train à la gare de Grand Central Terminal. C’est là aussi du cinéma Sergio Leone a tourné la scène à la gare de l’Est à Paris !La bande annonce d’Il était une fois en AmériqueL’affiche du filmL’affiche d’Il était une fois en Amérique. Photo DR

Lesecond, Il était une fois en Amérique (1984), fut en partie un film maudit, obtenant un beau succès en France, mais sans crever le plafond du box-office, et avec des recettes largement en

Sortir Cinéma Publié le 11/05/15 mis à jour le 08/12/20 Partager Comme nombre de réalisateurs, le maître du western spaghetti a vu sa fresque historique amputée par les studios. Une version restaurée et enrichie ressort en salle. 270-41 = 229. Je retire 90, ça fait 139. 229 + 22 = 251. Superbe fresque historique, Il était une fois en Amérique, dernier chef-d'oeuvre de Sergio Leone, est aussi une longue histoire de minutage, de coupes, de montage. Récapitulons. Le cinéaste rêve d'un film de plus de 4h30 270 min. En 1984, à contrecoeur, il en valide une version de 229 minutes, montrée en avant-première à Cannes sous les hourras. Mais pour sa sortie américaine, le film est cruellement réduit à 139 minutes et... renié par le réalisateur. L'Europe, elle, obtient sa version longue 229 min. Depuis, Il était une fois en Amérique passe souvent à la télévision, mais il était devenu quasiment impossible de le projeter en salles du fait de l'absence de bonnes copies 35 mm. D'où la volonté de restaurer ce monument. Un travail d'orfèvre qui a duré six mois, dont le résultat est enfin visible depuis cette semaine au Grand Action dans une version... augmentée de sept scènes, retrouvées sur des copies de travail par la famille de Leone. Soit 22 minutes supplémentaires, portant l'ensemble à 4h11 251 min. Le matériel était en piteux état, explique Davide Pozzi, directeur du laboratoire L'Immagine Ritrovata, affilié à la Cinémathèque de Bologne. Les copies de travail, uniquement des positifs, étaient fatiguées, abîmées, rayées. Notre objectif principal était de réduire le plus possible la différence de qualité entre le film et les séquences ajoutées, tout en sachant que c'était une impasse technologique », s'excuse-t-il presque. New York au temps de la Prohibition Les nouvelles » scènes sont effectivement facilement identifiables, la couleur des fichiers ayant viré au vert. Mais rien qui ne gêne cette immersion romanesque et fascinante dans le New York de la fin de la Prohibition. Rien qui ne gâche le plaisir de retrouver Noodles/Robert De Niro, hanté par son passé, amoureux fou et maladroit de la sublime Deborah, et Max, l'ami perdu puis retrouvé. Une scène retrouvée a en particulier touché Davide Pozzi celle où Noodles précipite la voiture dans l'eau Nous n'avions pas le son, du coup nous avons ajouté de la musique de Morricone. Le film devient alors onirique. La voiture tombe dans l'eau comme dans un film muet. Pour moi, c'est vraiment de la poésie. » Mais au-delà de la beauté de ces scènes, une question se pose. Sachant que ces séquences avaient été écartées par Sergio Leone, aurait-il validé cette version ? C'est la question la plus délicate. C'est pour ça que nous l'avons présentée comme une hypothèse de reconstruction. Nous avons ajouté ces scènes sur la volonté de la famille, en toute transparence. Selon moi, elles permettent de mieux comprendre l'univers du film. Mais nous ne disons pas que c'est la plus correcte, ni la plus juste. » Simplement la troisième et la plus longue... Il était une fois en Amérique, de Sergio Leone. Grand Action, 5e. Voir les horaires des séances. Mardi 12 mai à 20h, séance présentée par Emmanuel Raspiengeas, de la revue Positif. western Sortir à Paris Le choix du cinéphile Robert De Niro Sergio Leone Partager Contribuer Sur le même thème
Unfilm à multiples tiroirs sur les thèmes développés (le gangstérisme, l’amitié, la trahison, la rédemption, l’amour, et la sexualité) mais aussi des tiroirs dans le temps (l’adolescence, la jeunesse, et la vieillesse). Sans parler d’une fin a double énigme inoubliable. Un film nostalgique sur l’Amérique et ses rêves s Bravo Disponible sur Amazon Regarder le film Critique par Jacques Morice Publié le 02/03/2022 Il était une fois en Amérique, ce sont les Années folles et la prohibition, le whisky coulant à flots car interdit, les gang­sters et leurs mitraillettes à chargeur circulaire, les pépées en satin rose, l’amitié virile, l’amour divinisé puis souillé, la grandeur et l’anonymat… Paiement sécurisé Sans engagement Désabonnement simple Déjà abonné ? Je me connecte Découvrir toutes nos offres Synopsis Le 3 décembre 1933. La Prohibition vit ses dernières heures. Noodles et ses amis, des truands enrichis grâce au trafic d'alcool, doivent effectuer une toute dernière livraison. Pour les sauver d'eux-mêmes, Noodles a donné ses amis. Mais l'arrestation tourne à la boucherie et tous sont tués... Les films du même genre r Très Bien Closer, entre adultes consentants Mike Nichols r Très Bien Madres paralelas Pedro Almodóvar r Très Bien Mud sur les rives du Mississippi Jeff Nichols r Très Bien Liberté, la nuit Garrel Philippe q Bien Deux Filippo Meneghetti Voir les films Résumé du casting Réalisateur Sergio Leone Acteurs Robert De James Woods Elizabeth McGovern Joe Pesci Burt Young Treat Williams Danny Aiello Tuesday Weld Richard Bright James Hayden William Forsythe Darlanne Fluegel Noodles Maximilian 'Max' Bercovicz Deborah Gelly Frankie Joe Jimmy O'Donnell Police Chief Aiello Carol Joe Patsy Cockeye Eve Regarder Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner Il était une fois en Amérique" (1984) a permis au réalisateur d'entrer dans l'histoire pour toujours. Pour arriver à ce résultat, un travail d'écriture d'une quinzaine d'années a été nécessaire si bien qu'au moment de tourner le film, Sergio Leone avait déjà tout imaginé, tout visualisé, jusqu'au moindre détail.
Suite au décès d'Ennio Morricone lundi, France 3 modifie sa programmation de la soirée du 13 juillet, pour diffuser les films “Le Professionnel” de Georges Lautner et “Il était une fois en Amérique” de Sergio Leone, à la place de de la soirée consacrée à Pierre Richard "Les fugitifs" et "Le grand blond avec une chaussure noire".De Georges Lautner, avec Jean-Paul Belmondo, Jean Desailly, Robert Beaumont, un agent des services secrets français envoyé en mission dans un pays d’Afrique, a été dénoncé pour des raisons politiques par ses chefs aux autorités de ce pays. Evadé du bagne où il a été détenu pendant deux ans, il revient en France pour se venger en achevant la mission qu’on lui avait confiée assassiner le président de ce pays, en voyage officiel à musique du Professionnel, signée Ennio Morricone, remportera un disque d’or en 1981 grâce à son thème culte Chi Il était une fois en AmériqueDe Sergio Leone, avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux, puis se recouper en pleine période de prohibition, dans les années vingt. Jusqu'au jour où la trahison les sépare à s’agit du troisième volet de la saga des Il était une fois… » de Sergio Leone, après Il était une fois dans l’Ouest et Il était une fois la révolution, dont toutes les bandes originales d’Ennio Morricone sont devenues cultes aujourd’ diffusion de la case SPORT LEGENDE prévue vers 0005 sera reportée à la mi-août.
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